Valérie Trierweiler : cette expérience “essentielle” qui a changé sa vie

À l’occasion d’octobre rose, Valérie Trierweiler était invitée sur RTL ce dimanche 2 octobre. La journaliste s’est confiée sur le Défi d’Elles, un rendez-vous annuel devenu « essentiel » sa vie.

Elle n’aimait ni la neige, ni courir, pourtant l’événement a changé sa vie. Depuis plusieurs années, Valérie Trierweiler s’est mise au sport pour la bonne cause. À l’occasion d’octobre rose, qui lutte contre le cancer du sein, la journaliste participe aux raids Défi d’Elles, organisés par la gagnante de Koh-Lanta, Christelle Gauzet. Des épreuves sportives en binôme sur plusieurs jours que connaît bien l’ex-compagnon François Hollande. Une invitation que Valérie Trierweiler a bien failli décliner : « J’ai rencontré Christelle Gauzet qui m’a sollicitée pour être ambassadrice, donc sur le raid de Laponie.. J’ai été flattée, mais je lui ai dit : ‘Écoutez, c’est gentil, mais moi je n’aime pas la neige, je n’aime pas courir, je n’aime pas le froid », explique-t-elle sur RTL, ce dimanche 2 octobre.

Mais c’était sans compter sur la force de persuasion de l’aventurière de TF1 qui réussit à la convaincre : « J’ai fait ce raid et ça a changé ma vie. Je le dis aujourd’hui, ces raids sont devenus essentiels à ma vie », poursuit Valérie Trierweiler. « Parce que c’est exactement ce qu’elle décrit (Christelle Gauzet, ndlr) : c’est une communauté de femme. Et moi, ce que j’aime c’est aussi ce mélange de générations, de professions, de régions et on se retrouve toutes et on est à peu près toutes, pas au même niveau sportif ».

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Valérie Trierweiler face à ses « propres douleurs »

Une « sororité » créée autour d’une « vraie solidarité » que la participante de Pékin Express, explique : « Quand elle (Christelle Gauzet, ndlr) dit qu’il n’y a pas de compétition, c’est vrai qu’aucune de ces femmes ne laisserait su le bord de la route une qui serait tombée ou aurait des difficultés ». Plus qu’une compétition, le raid est pour la journaliste « un voyage intérieur au sein de ses propres douleurs » sous « moins 23 degrés: « On était dans une douleur extérieure qu’il fallait combattre, des éléments qui n’étaient pas simples (…). C’est vrai que quand on est en souffrance, à part les supers sportifs, on est dans la douleur et ce sont des moments où on réfléchit à nos propres vies et toutes ces femmes qui sont là, elles ne sont pas là par hasard », conclut-elle.

En 2018, Valérie Trierweiler se confiait à Gala.fr, sur sa préparation intense pour affronter les épreuves du Finland Trophy, qui se déroulaient en Laponie : « Je suis allée à la salle de sport tous les jours, entre 1h et 1h30, pour pouvoir récupérer un peu d’endurance et de masse musculaire. J’ai fait du cardiotraining, du renforcement musculaire, dans des cours collectifs tels que Pilates, Body Pump (cours de renforcement musculaire complet, NDRL), RPM (vélo indoor), CXWorx (cours de renforcement de la ceinture abdominale). Je me suis aussi entraînée sur des machines cardio : tapis de course et elliptique ». Depuis les épreuves de Défi d’Elles sont devenues un rendez-vous.

Crédits photos : Capture d’écran RTL

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