Présent sur le plateau de LCI, ce mercredi 16 mars, Xavier Bertrand a partagé un avis pour le moins tranché sur le dernier débat présidentiel. Un débat qui n’en était pas un aux yeux du patron des Hauts-de-France…
La tension était indéniablement palpable sur le plateau de LCI, en ce mercredi 16 mars. Pour l’occasion, Élizabeth Martichoux recevait Xavier Bertrand sur son plateau. Durant l’émission, la journaliste s’est notamment attardée sur le récent débat présidentiel, – diffusé lundi 14 mars sur TF1 – durant lequel les huit candidats présents ont pu exposer leurs idées clairement chacun leur tour.
Un nouveau format vivement critiqué par Xavier Bertrand qui, face à la journaliste, n’a pas caché son mécontentement. “Le vrai sujet est qu’on a un président qui ne veut pas du débat. Avec tout le respect que je dois à votre chaîne, vous avez été obligés de vous plier à cet exercice l’autre jour”, a-t-il fait savoir, ajoutant ensuite : “Le président de la République ne voulait pas débattre avec 11 personnes. Mais ce truc, avec les entrées et les sorties. On aurait dit une sorte de job dating ! Excusez-moi ! […] Ce n’est pas vous qui êtes responsables, c’est lui qui a imposé ses règles.”
>> PHOTOS – Xavier Bertrand et Vanessa Williot : un couple fusionnel qui a trouvé son équilibre
Xavier Bertrand, agacé par Élizabeth Martichoux
Toujours au cours de son passage sur LCI, l’époux de Vanessa Williot s’est également montré très agacé par les interventions de la journaliste. Notamment lorsque Élizabeth Martichoux n’est pas assez convaincue par l’une de ses réponses. En cause : les récents propos annoncés par Gérard Larcher au Figaro.
Après avoir rappelé que le président du Sénat avait indiqué dans les colonnes du journal que “s’il n’y a pas de campagne, la question de la légitimité du gagnant se posera”, Élizabeth lui avait alors demandé quelles étaient ses positions sur le sujet. “Gérard Larcher n’a pas besoin de porte-parole, mais vous savez qu’il n’y a pas plus républicain que Gérard Larcher. Donc, ce n’est pas ça qu’il conteste. Il conteste la capacité à mener des réformes de fond...« , a-t-il d’abord fait savoir, avant d’ajouter face à la réaction peu enjouée de la journaliste : « Si ma réponse ne vous plaît pas, dites-le ! […] Si vraiment je ne voulais pas répondre, je vous dirais ‘joker’ ou je vous dirais : ‘Je ne suis pas fondé à répondre’. »
Crédits photos : Capture d’écran / LCI
Autour de
Source: Lire L’Article Complet