Dans les colonnes du Parisien, dimanche 20 février, Thierry Lhermitte a parlé de la maladie de la prosopagnosie, qu’il ne pense pas avoir même s’il a de sérieuses difficultés à reconnaître certaines personnes qu’il a déjà côtoyées.
Ce lundi 21 février matin, Thierry Lhermitte sera sur France Inter, non pas en tant qu’acteur, mais dans le costume de chroniqueur santé. Parrain de la Fondation pour la recherche médicale, il parlera du Covid long, qui touche 10% des personnes ayant contracté le coronavirus. Présent une fois par mois dans l’émission radio Grand bien vous fasse, animée par Ali Rebeihi, la star des Bronzés a accepté d’évoquer sa passion étonnante pour les sciences auprès du Parisien, mais pas seulement. De plus, le comédien de 69 ans s’est livré au sujet de sa maladie.
En effet, comme le précisent nos confrères, certains estiment que Thierry Lhermitte est touché par la prosopagnosie, qu’on peut également appeler amnésie des visages. Pour la petite explication, il s’agit d’un trouble qui empêche de bien reconnaître des personnes ou de se souvenir de quelqu’un que l’on a pourtant déjà croisé ou côtoyé. L’acteur, pour sa part, assure qu’il n’est pas prosopagnosique, mais qu’il n’est « tout simplement pas physionomiste ». Une nuance importante à ses yeux. « Ça peut être très embarrassant, mais on est loin de la maladie », a-t-il confié avec amusement. Le Parisien a néanmoins raconté une situation inconfortable à laquelle il a été confronté, à savoir qu’il lui est déjà arrivé de faire ses présentations à un comédien avec lequel il avait tourné.
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Une princesse héritière également touchée par la prosopagnosie
Thierry Lhermitte a également affirmé que la présidente d’une association l’avait contacté, par le passé, pour qu’il l’aide. « Quand je lui ai répondu que je n’étais pas malade, la dame m’a répondu : ‘Oui, on dit tous cela au début…’ », a souligné le comédien. Quoi qu’il en soit, il est loin d’être le seul à souffrir de prosopagnosie. La princesse héritière Victoria de Suède a également cette particularité, en plus de sa dyslexie.
Article écrit avec la collaboration de 6Medias
Crédits photos : CEDRIC PERRIN / BESTIMAGE
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