Sylvie Vartan : "tout a basculé" pour elle sur un quai de gare, son cœur à jamais brisé !

Originaire de Bulgarie, Sylvie Vartan a toujours été très fière à ses racines. Une attache qui serait liée à son grand-père paternel à qui elle n’a jamais pu dire adieu… Bouleversantes confessions !

Sylvie Vartan est incontestablement une icône dans l’industrie musicale ! A 78 ans, l’heureuse maman de deux enfants peut se targuer d’avoir séduit les foules à l’international. Peu le savent, mais la chanteuse revient de loin. Née en Bulgarie en 1944, la star et sa famille ont vécu des mois difficiles en raison de la guerre qui a littéralement détruit leur pays. A l’époque, l’URSS déclare la guerre à sa nation. Il y aura malheureusement de nombreuses pertes humaines à déplorer.

En pleine tourmente, Sylvie Vartan et les siens s’installent à Sofia, dans la capitale. Alors que le Parti communiste règne en maître au sein de sa nation, le peuple souffre car le régime est totalitaire. Voulant une vie meilleure, le clan de cette dernière décide de s’envoler pour la France. C’est d’ailleurs « Robert » le grand-père de l’interprète de « Comme un garçon » qui leur souffle l’idée.

De lui, l’épouse de Tony Scotti se souvient d’un homme « très élégant » féru de la culture française. Sylvie Vartan a alors 8 ans quand elle quitte sa terre natale… Ce que l’artiste ne sait pas, c’est qu’elle ne reverra plus jamais son aïeul. Un drame qui la hante encore comme elle l’a expliqué dans les colonnes du magazine Gala dévoilé ce jeudi 16 février 2023.

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« J’ai vu disparaître l’image de mon grand-père… »

« Mon enfance en Bulgarie, sous la dictature stalinienne, est présente, en permanence. […] Comme beaucoup d’autres, nous vivions à l’époque avec mes grands-parents », a confié l’ex-compagne de Johnny Hallyday. L’occasion pour Sylvie Vartan de rendre hommage à Robert qu’elle a profondément aimé : « Je l’entends encore me chanter Le soleil a rendez-vous avec la lune de Charles Trenet, en français, alors qu’il ne nous parlait qu’en bulgare ». Et renchérir très émue : « Je n’ai même pas eu le temps de dire au revoir à mon grand-père, parce que tout s’est fait dans une grande fébrilité. […] Quand le train a quitté la gare, que j’ai vu disparaître l’image de mon grand-père, c’était horrible ».

De terribles souvenirs qu’elle n’oubliera jamais : « C’est là que tout a basculé, en fait : l’enfance est partie, elle est restée avec lui sur le quai… ». Leurs retrouvailles tant espérées ne se feront jamais à son grand dam. « Plus tard, mes parents ont enregistré des demandes pour essayer de faire venir mes grands-parents en France mais mon grand-père est mort avant », a ainsi ajouté Sylvie Vartan le cœur lourd.

N.B

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