Accusée d’avoir pris la grosse tête et d’être responsable du licenciement de certains extras de la série Chicago PD, Sophia Bush s’est vivement défendue.
Une réponse plus cash que jamais. Quand Sophia Bush est attaquée sur les réseaux sociaux, elle n’hésite pas à faire une mise au point radicale avec ses haters. En effet, la comédienne est connue pour son franc-parler légendaire. La preuve, lorsque la jolie brune a été accusée d’avoir pris la grosse tête en 2016, elle n’a pas manqué de se défendre. À l’époque, un internaute avait balancé sur Twitter que des extras de la série Chicago PD avaient été virés à cause de l’actrice. Selon lui, la star du petit écran avait spécifiquement interdit aux figurants présents sur le plateau de lui adresser la parole sous peine d’être licenciés. Face au buzz de ces déclarations calomnieuses, l’interprète de Brooke Davis dans Les Frères Scott avait rapidement réagi en déclarant : « Selon la règle mise en place par notre département de régisseurs, les figurants n’ont pas le droit de parler sur le plateau de tournage. Parce que quand 100 personnes discutent, l’équipe n’arrive pas à s’entendre. »
Décidé à rétablir la vérité, Sophia Bush avait poursuivi : « Le réalisateur ne peut pas donner ses directives, les cadreurs ne peuvent pas communiquer dans leurs casques audios, ce qui demande du silence absolu afin de pouvoir travailler sans avoir des bruits qui gâchent tout. L’équipe de cascadeurs ne peut pas garder tout le monde en sécurité. Les acteurs ne peuvent pas se donner la réplique. Voilà pourquoi, sur chaque tournage, les extras ne font que mimer. Autrement dit, ils font semblant de parler sans faire de bruit. C’est le cas, à chaque fois, tout le temps. Toutes les personnes présentes sur le plateau sont là pour travailler. Pas pour parler. Ni pour connaître la marche à suivre pour devenir cameraman ou comment les acteurs ont décroché leur premier travail. On a pas le temps pour ça. Mais bien tenté, mec. » Un message qui aura eu le mérite de mettre les choses au clair. Tout comme cette fois où Sophia Bush avait poussé un coup de gueule contre les diktats de la beauté à Hollywood.
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