“S’il te plaît, dis-nous la vérité” : Cédric Jubillar supplié par sa mère lors d’une audition

Mercredi 16 mars 2022, nos confrères du Parisien ont dévoilé en exclusivité quelques passages du livre Le Mystère Jubillar, de Ronan Folgoas. Dans son ouvrage, le journaliste s’est notamment intéressé à la mère de Cédric Jubillar qui, lors d’une audition, a supplié son fils de dire la vérité.

Les révélations s’enchaînent concernant la troublante disparition de Delphine Jubillar. Mercredi 16 mars 2022, le Parisien est revenu sur la sortie du livre d’un de leurs journalistes, Ronan Folgoas. Intitulé Le mystère Jubillar (aux éditions StudioFact), cet ouvrage – paru ce 17 mars – présente de nouvelles informations obtenues aux contact des proches de l’infirmière disparue mais également auprès des proches du suspect numéro un – toujours présumé innocent -, Cédric Jubillar.

Dans un extrait dévoilé par le quotidien, le journaliste Ronan Folgoas revient sur l’audition de la mère du principal suspect, Nadine. “Ce jeudi soir, Nadine ne peut plus faire semblant. Les enquêteurs lui ont révélé progressivement tous les éléments à charge réunis depuis six mois. Elle en est ressortie complètement chavirée”, peut-on découvrir. Face aux éléments présentés par les gendarmes, cette dernière – commençant à être convaincue par la culpabilité de son fils – lui aurait alors demandé de tout avouer. “S’il te plaît, dis-nous la vérité”, lui aurait-elle lancé durant son audition. Une demande vite balayée par Cédric Jubillar qui lui aurait alors répondu : “Je n’ai rien fait”.

Cédric Jubillar doit avouer

Même si Cédric Jubillar ne cesse de clamer son innocence, et sa liberté, les proches de Delphine Jubillar le pensent coupable des faits qui lui sont reprochés. Pour preuve, dans un récent entretien accordé à nos confrères de Femme Actuelle, le 14 mars dernier, Maître Philippe Pressecq, (avocat d’une cousine de l’infirmière disparue) a partagé son avis sur cette affaire judiciaire.

Alors que nos confrères du magazine lui demandaient s’il pensait que l’on pouvait encore « attendre quelque chose de Cédric Jubillar« , Maître Philippe Pressecq a répondu qu’il « n’est pas exclu qu’il puisse craquer et avouer« , avant de préciser : « Il y a une chose qui est claire : c’est que Delphine Jubillar était la femme de sa vie. Il l’a dit et répété. On a des écoutes téléphoniques avant la disparition qui sont poignantes. Ce garçon crie son amour pour Delphine. Pour moi, on est sur ce qu’on appelait avant un crime passionnel.« 

Crédits photos : Capture d’écran / Facebook

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