“Sa blonde…” : Gérard Lanvin pas tendre avec François Hollande et… Julie Gayet

Dans les colonnes du magazine de Sophie Davant, de ce jeudi 19 mai, Gérard Lanvin a déploré le paysage politique français. L’acteur n’a pas épargné le comportement de François Hollande et « sa blonde », Julie Gayet.

Gérard Lanvin n’est pas du genre à mâcher ses mots. Pour S, Le magazine de Sophie Davant, de ce jeudi 19 mai, l’animatrice a rencontré « un mec bien » qui lui a parlé de sa carrière au cinéma, de ses débuts dans la musique, mais aussi de sa famille, son couple avec Jennifer Lanvin et des valeurs chères à son cœur comme « être un mec correct ». Une qualité qui « exige beaucoup de sacrifices et de choix » qu’il ne retrouve plus chez « les politiques » qui « ne sont pas des gens comme nous ». L’acteur de 70 ans n’est pas tendre avec eux, surtout quand il s’agit de François Hollande : « Ça a été une catastrophe ».

Lassé de « les voir tous (les élus politiques, ndlr) aller au tribunal tous les six mois », il a dépeint l’ancien président socialiste comme « le pire » avec « son mépris » sur le perron de « l’Élysée en ne raccompagnant pas Nicolas Sarkozy«  le jour de la passation de pouvoir. « Et ses histoires avec sa blonde. Ses interventions sous la pluie. J’en parle encore avec vivacité, il m’a tellement déçu », lâche-t-il à l’animatrice de France Télévisions.

Gérard Lanvin pas tendre avec Marine Le Pen et Emmanuel Macron

À part « Pompidou ou de Gaulle », personne ne trouve grâce à ses yeux en politique. Pour Gérard Lanvin, « la technologie » a biaisé « la connexion de ces gens au peuple ». « Quand je vois maintenant ce peuple qu’on a laissé sur le trottoir, ça me désole », lance le comédien aux 70 longs-métrages. Quant à Marine Le Pen, il ne l’épargne pas non plus : « On l’attendait un peu plus maline, alors comment voulez-vous lui confier nos destins alors qu’elle s’est tiré une balle dans le pied lors de son premier débat avec Macron ? »

Déjà en 2021, le chanteur, accusé de ne pas payer ses impôts en France, regrettait de voir qu’en politique « il n’y a aucune personne qui vous donne un peu d’espoir ». Déçu par l’exécutif, il déclarait sur Emmanuel Macron au Figaro : « Macron ne connaît pas le langage de la rue, il n’a jamais eu d’ampoules aux mains et il veut s’adresser à des gens qui souffrent ». Avant de revenir sur les mandats de François Hollande, Nicolas Sarkozy et l’actuel président de la République : « Ces gens voudraient qu’on ait un comportement idéal alors que le leur ne l’est pas. Ce n’est pas une critique mais un simple constat. Je ne suis pas un homme en colère ».

Crédits photos : Christophe Clovis / Bestimage

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