Tantôt chroniqueuse, tantôt ministre, Roselyne Bachelot mène sa barque comme bon lui semble et personne ne pourra l’influencer. Dans les colonnes de L’Express et de Ouest France, la ministre de la Culture s’est souvenue de la jeune fille « indisciplinée et rebelle » qu’elle était.
- Roselyne Bachelot
Au début de l’été, Roselyne Bachelot a surpris tout le monde en acceptant de rejoindre le gouvernement du nouveau Premier ministre, Jean Castex. L’ancienne chroniqueuse du Grand 8 est à la tête du ministère de la Culture, et si ça ne plait pas à tout le monde, elle ne se laisse pas miner par les critiques. Celle que l’on va prochainement voir dans Les reines du shopping est investie dans sa mission et prend soin de garder sa bonne humeur et sa franchise légendaire. Madame la ministre n’a pas peur de dire ce qu’elle pense, n’a aucun problème à imposer sa forte personnalité, et cela depuis l’enfance.
Comme repéré par nos confrères de Gala, dans les colonnes de L’Express, Roselyne Bachelot s’est souvenue qu’elle avait « des notes de discipline épouvantables à l’école ». Et de révéler : « Il y a longtemps, Le Monde l’Education avait interrogé mes anciens camarades de classe pour un portrait. Le titre était : ‘Roselyne : chef de gang’‘. J’étais infernale.«
Très intelligente mais dissipée !
C’est cette fois dans les colonnes de Ouest-France que le directeur de l’école primaire où est allée Roselyne Bachelot s’est remémoré une jeune fille « en avance« . « À 8 ans, les religieuses lui ont fait redoubler sa classe malgré son niveau, trop jeune pour entrer en sixième ! » avait-il poursuivi. Et que la ministre n’ajoute qu’elle avait un « esprit indiscipliné, rebelle et contestataire ». Roselyne Bachelot se décrivait même comme une « meneuse toujours prompt à faire un mauvais coup. »
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