Lors de la demi-finale de « The Voice », ce samedi 14 mai, Amel Bent a été violemment critiquée sur son physique. La chanteuse a répondu de la meilleure des manières, en publiant une photo d’elle dans une sublime robe Louis Vuitton.
Ce samedi 14 mai, la demi-finale de The Voice a été l’objet de tous les débats. Malgré les performances sensationnelles des artistes, le tableau a été noirci par quelques remarques des internautes sur la tenue et le physique d’Amel Bent. Cette dernière a pourtant illuminé la soirée dans une magnifique robe dorée, moulante et pailletée signée Louis Vuitton. Heureusement, l’artiste ne s’est pas laissé démonter. Elle a partagé sur son Instagram, ce dimanche 15 mai, des photos d’elle dans la même robe. Resplendissante, Amel Bent a hypnotisé ses followers avec une publication pleine d’assurance, accompagnée d’un petit message pour ses détracteurs : « Shine bright like a happy mum » (« Briller comme une maman heureuse », en français). Eh oui, la chanteuse n’a pas eu peur de rappeler qu’elle a accouché, début avril, de son troisième enfant.
Dans son élan, Amel Bent ne s’est pas arrêtée à la simple publication. En effet, la coach de The Voice a également diffusé le même cliché, en story, avec un message plus incisif. « À toi grossophobe… Ce n’est pas à nous de cacher nos corps, mais à toi de t’habituer à les voir tels qu’ils sont !« a-t-elle dénoncé, avant de ponctuer son message des hashtags « Post partum », « J’assume », « J’ai donné la vie », « Fière » et « À la semaine prochaine ».
https://www.instagram.com/p/CdlH4Mror3Q/
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Un mois de mai compliqué pour Amel Bent
Cet épisode est venu confirmer le mois de mai en dents de scie pour l’artiste. La chanteuse de 36 ans a vu son mari, Patrick Antonelli, enfermé à la maison d’arrêt de Nanterre le 3 mai dernier. Ce dernier doit y purger une peine de quinze mois car il s’est fait passer, l’espace d’une journée, pour un agent de sécurité de sa femme. L’homme de 44 ans a été incriminé à cause d’une facture qu’il avait adressée alors qu’il n’était pas en droit d’exercer cette fonction. À cela s’est ajoutée une affaire d’escroquerie dans laquelle il a bénéficié d’une aide de l’État, versée pour compenser la baisse d’activité pendant la période de Covid-19, à laquelle il n’était pas éligible.
Article écrit en collaboration avec 6Medias.
Crédits photos : JACOVIDES-MOREAU / BESTIMAGE
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