Face aux détracteurs qui affirmeraient qu’elle serait pistonnée par sa mère, Pauline Ducruet ne se démonte pas. Dans une interview accordée au magazine Elle, ce mercredi 5 février, la styliste de 25 ans a fait savoir qu’elle a construit sa carrière de créatrice seule, sans l’aide de Stéphanie de Monaco.
Si Stéphanie de Monaco avait opté pour la musique, Pauline Ducruet, elle, a jeté son dévolu sur la mode. À 25 ans, la jeune femme a lancé sa première collection de vêtements. En septembre 2019, lors de la Fashion Week parisienne, la sœur de Louis Ducruet, marié depuis le mois de mai 2019, et Camille Gottlieb avait ensuite présenté sa propre marque de prêt-à-porter, baptisée Alter. Ses créations avaient brillé de mille feux sur le podium. En tant que « fille de », Pauline Ducruet peut faire face aux critiques et aux spéculations autour de son succès. Dans une interview accordée au magazine Elle, ce mercredi 5 février, la créatrice a répondu à ses éventuels détracteurs, leur lançant le défi de suivre ses traces. « Je conseillerai à ces personnes d’essayer de monter leur propre entreprise », a-t-elle d’abord lancé. Et d’ajouter : « Ils verront rapidement que ce n’est pas facile, même lorsqu’on a un parent célèbre ».
Si elle reconnaît que « l’exposition est plus facile » grâce à son affiliation à la famille princière de Monaco, Pauline Ducruet a découvert le milieu parfois difficile de la mode seule et sans aucune aide de sa mère. « C’est énormément de travail et ce n’est pas ma famille qui le fera à ma place », a-t-elle admis. La jeune femme reste concentrée sur son travail : « Le client se fiche de savoir que la fille de Stéphanie de Monaco a créé sa veste. Ce qu’il veut, c’est s’offrir une pièce de qualité ».
Et si Pauline Ducruet reste sereine, le regard tourné avant tout vers sa carrière de créatrice, c’est parce que Stéphanie de Monaco a mis un point d’honneur à lui transmettre une éducation toute aussi « terre-à-terre ». Maman fusionnelle avec ses trois merveilleux enfants, la sœur du prince Albert II a choisi de les élever loin du Rocher. « Je voulais que leur éducation soit plus terre-à-terre, les sortir un peu du microcosme de Monaco, pour qu’ils aient les vraies valeurs de la vie », avait confié Stéphanie de Monaco dans un documentaire diffusé sur M6. Et visiblement, ses efforts ont payé.
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