En pleines confidences lors d’un documentaire intimiste, Paris Jackson, la fille de Michael Jackson, a avoué avoir plusieurs fois tenté de mettre fin à ses jours, et avoir succombé à l’automutilation…
C’est sur le réseau social Facebook que Paris Jackson a décidé de se confier. En effet, son petit ami, Gabriel Glenn, a réalisé un documentaire sur les coulisses de la vie de la jeune femme intitulé Unfiltered : Paris Jackson & Gabriel Glenn. Entre studio de musique où ils enregistrent un album ensemble et interviews très personnelles, le film, durant une petite vingtaine de minutes, a le mérite d’être percutant. On peut y découvrir la voix fragile mais puissante de la fille de la star de la pop, cette dernière n’hésitant pas à faire des confidences pour le moins rares sur sa vie. Il faut dire qu’elle est née sous les feux des projecteurs, a passé son enfance à vivre cachées des paparazzi et à seulement 11 ans, est devenue orpheline… Soutenue par le clan Jackson, la jeune femme a tenté, tant bien que mal, de se construire, et si a plusieurs reprises elle a nié avoir tenté de mettre fin à ses jours, de nombreuses rumeurs ont circulé quant à sa santé mentale…
Aujourd’hui, il semblerait qu’elle ait trouvé dans la musique un véritable échappatoire… Ou défouloire. En tout cas, Paris Jackson ne rechigne plus à parler de ses troubles qu’elle espère comme faisant partie du passé. Car après la mort de son célèbre papa, la jeune femme a trouvé refuge dans la nourriture. Une source de joie qui est vite devenue un calvaire… « La nourriture est devenue une addiction, et quand un cousin m’a traitée de grosse, c’était la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. Et je suis tombée dans l’automutilation. »
« J’ai détourné la douleur émotionnelle en douleur physique »
Pour justifier ces gestes addictifs, Paris Jackson explique qu’elle cherchait tout simplement à ne pas perdre le contrôle de son être. « Il y a beaucoup de choses qui provoquent une libération de dopamine. L’automutilation et les tatouages en sont des exemples. J’ai donc pu détourner la douleur émotionnelle en la transformant en douleur physique. C’était une forme de contrôle dont j’avais beaucoup besoin.«
Source: Lire L’Article Complet