Nathalie Saint-Cricq : son premier métier « enquiquinant » loin du journalisme

Nathalie Saint-Cricq, qui va commenter la soirée électorale de ce dimanche 19 juin sur France 2, n’a pas toujours rêvé de faire du journalisme. Avant de faire ses premiers pas dans les médias, en suivant les traces de sa famille, elle a exercé un métier barbant au possible à ses yeux.

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  1. Nathalie Saint-Cricq

En mars dernier, Nathalie Saint-Cricq était invitée dans l’émission Chez Jordan, diffusée sur le site de Télé-Loisirs. La journaliste, responsable du service politique de France 2, qui commentera la soirée électorale du second tour des législatives ce dimanche 19 juin, faisait des confidences sur sa famille, son fils Benjamin, mais aussi sur sa carrière dans les médias. Avant de se lancer officiellement dans le milieu de l’information, la compagne de Patrice Duhamel a été « cadre pendant trois mois dans une entreprise ».

Une expérience professionnelle qui ne l’a pas vraiment fait vibrer, comme elle l’avait révélé face caméra. « Je me suis tellement enquiquinée… Mais tellement ! Parce que tous les jours se ressemblaient », avait-elle expliqué, en développant : « Je me souviens, il y avait la composition d’un gouvernement, j’écoutais la radio au bureau et je me suis dit :Faut que je dégage, je ne vais pas supporter de faire tous les jours la même chose.' » C’est ainsi que Nathalie Saint-Cricq s’est tournée vers le journalisme, un métier qui coule dans les veines de nombreux membres de sa famille. D’ailleurs, elle n’avait pas caché que ces derniers (en particulier ses parents) l’avaient « aidée » à ses débuts dans ce milieu, tout comme son nom. « J’ai été, non pas pistonnée, dans le sens où j’ai fait sept années d’études après le Bac, mais ça m’a aidée », avait-elle reconnu en toute franchise.

La politique, un sujet omniprésent au sein de sa famille

Auprès de Jordan De Luxe, Nathalie Saint-Cricq avait également souligné que c’est avant tout son intérêt pour la politique qui lui a donné envie de faire du journalisme. Celle qui ne « rêvait pas » de faire ce métier quand elle était plus jeune a indiqué que « matin, midi et soir » on parlait de politique à la maison. Cette passion lui venait tout d’abord de ses grands-parents, qui l’ont « initiée » dès son enfance à cette thématique et lui ont donné envie de faire un travail « en rapport » avec cela. « Ça m’excite. C’est irrationnel, mais j’aime ça », avait-elle résumé.

Article écrit avec la collaboration de 6Medias

Crédits photos : Capture écran Télé-Loisirs

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