La mère de Laura Smet vient de confier dans les colonnes du Journal du dimanche souffrir de plusieurs maux qui empoisonnent son existence depuis toute petite.
À 74 ans et quelque 50 ans de carrière, l’actrice Nathalie Baye se voit consacrer par l’hebdomadaire JDD une série d’articles sur sa vie, son œuvre… mais aussi sur les faces cachées de sa personnalité. Par le passé, l’actrice de La Balance avait déjà évoqué sa dyslexie, handicapante pour son métier, qu’elle avait peu à peu réussi à vaincre par la lecture compulsive. Elle s’en ouvrait alors à Marie-Claire : « J’éprouve encore de grosses difficultés avec les noms propres. Si je rencontre un monsieur Trianon, je vais l’appeler ‘monsieur Triton’… En revanche, quand j’apprends mon texte ou quand je joue, il n’y a plus de problème ». Avant d’ajouter : « La dyscalculie est plus emmerdante ». Car l’ex-madame Hallyday souffre également de dyscalculie, soit de troubles spécifiques qui sont une altération de la capacité à comprendre et à utiliser les nombres, affectant la mémorisation des faits numériques.
Une véritable contrainte au quotidien qui peut conduire à des situations cocasses : « Je me suis fait avaler ma Carte bleue récemment, parce que j’ai confondu mon code bancaire avec celui de mon immeuble. A part celle de ma fille, je ne me souviens d’aucune date d’anniversaire, même pas de la mienne. On me l’a souhaitée un jour par SMS et je ne savais pas de quoi on me parlait », confiait-elle encore à Marie-Claire.
Mais à ces troubles très difficiles à gérer, notamment pour une comédienne, nous apprenons qu’un troisième et, espérons-le pour elle, un dernier l’atteint aussi : la claustrophobie ! Et ce dernier, qu’elle aurait hérité de son père, provoque tout autant d’embarras dans la vie de Nathalie Baye, comme le souligne le Journal du dimanche : « Elle connaît une peur irraisonnée à l’idée de se retrouver dans un espace clos. Les ascenseurs totalement fermés, les voitures sans portes à l’arrière, les IRM dans les hôpitaux, les pièces dénudées de fenêtres sont impossibles pour elle ».
Et quand l’actrice s’est décidé à consulter un psy pour se libérer de tous ses troubles angoissants, elle a dû faire face à une nouvelle épreuve : « Le cabinet du psychanalyste qu’elle allait voir à Paris était situé au-delà du dixième étage d’une tour. L’ascenseur était clos. Nathalie montait à pied », nous rapporte l’hebdomadaire du week-end. Mais alors qu’elle parvient à dompter sa dyslexie et à gérer sa dyscalculie, elle semble s’être fait une raison concernant sa claustrophobie : « Je ne peux pas lutter contre. C’est irrationnel ».
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BN
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