Mort de Jean-Pierre Pernaut : ce jour où Nathalie Marquay a pressenti les problèmes de santé de son mari

Décédé mercredi 2 mars, Jean-Pierre Pernaut laisse sa femme Nathalie Marquay derrière lui. Pourtant, celle-ci lui a évité à plusieurs reprises, par le passé, de mourir, grâce à ses fortes intuitions.

En août dernier, Nathalie Marquay publiait le livre Moi, j’y crois : Mes anges, mes guides, mes prémonitions, dans lequel elle évoquait sa sensibilité au surnaturel et à ces messages qu’elle reçoit de l’au-delà, notamment par le biais de ses rêves. Dans les colonnes de Gala, en septembre, l’ancienne Miss France nous parlait plus en détail de ses dons, qu’elle juge « naturels » et que tout le monde a, selon elle, à différents degrés. La maman de Tom et de Lou révélait même avoir, à de nombreuses reprises, de fortes intuitions concernant les problèmes de santé rencontrés par son mari, Jean-Pierre Pernaut, décédé mercredi 2 mars à l’âge de 71 ans.

« Grâce à cela, je lui ai sauvé la vie plusieurs fois », avait-elle confié avec fierté, en donnant un exemple. « Quand on lui a posé des stents [une endoprothèse utilisée en cardiologie, NDLR], je faisais des rêves, j’avais un mauvais pressentiment, je lui disais d’aller consulter, il n’avait jamais le temps… », s’était-elle souvenue, en précisant qu’une fois que Jean-Pierre Pernaut avait pu caler un rendez-vous médical, il s’était rendu compte de son importance. « Il n’y avait rien sur son électrocardiogramme, mais le cardiologue a poussé les examens : son artère principale était bouchée, à 98% », avait raconté Nathalie Marquay, en révélant que son époux avait « été opéré trois jours plus tard. » Même chose pour son cancer du poumon. Sa femme n’avait « pas fait de cauchemar » à ce sujet, « mais [elle] sentai[t] qu’il fallait qu’il passe des examens » et à juste titre.

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Une leucémie foudroyante qu’elle avait pressentie

Pour sa part, l’ancienne reine de beauté avait prédit ses propres précédents gros soucis de santé, en 1997. « À la Martinique, les médecins m’avaient diagnostiqué une dengue. Mais je sentais que c’était plus grave. Je suis entrée dans une église. J’ai demandé de l’aide à mes âmes. En sortant, j’ai vu la plaque d’un médecin et ce dernier m’a envoyée faire une prise de sang », avait-elle déclaré, en annonçant que c’est ainsi qu’elle avait appris l’existence de sa leucémie foudroyante, qui a nécessité une hospitalisation d’un an en région parisienne.

Article écrit avec la collaboration de 6Medias

Crédits photos : COADIC GUIREC / BESTIMAGE

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