A 38 ans, Mika vient de se lancer un surprenant business. Comme le révèle le journal Le Point, le chanteur a pris des parts dans la société française Divie, qui commercialise des produits à base de cannabidiol, un dérivé du cannabis. L’artiste a visé juste car cette molécule est devenue un ingrédient must-have, notamment dans l’univers de la cosmétique.
Ce dimanche 24 octobre 2021, Mika sera pour la deuxième soirée consécutive, sur la scène de la Philharmonie de Paris pour un concert lyrique inédit. Connu pour sa voix de velours, l’artiste de 38 ans est aussi un véritable business man qui multiplie les coups de maître. En plus d’être chanteur et de donc amasser les bénéfices des ventes de ses albums et de ses spectacles, Mika, de son vrai nom Michael Holbrook Penniman, multiplie aussi les contrats de juré.
Membre du jury dans « The Voice » durant des années, l’interprète du tube « Relax » est aussi juré dans la version italienne de l’émission « X-Factor ». De gros lui rapporter gros tout au long de l’année !
Mika investit dans le CBD
Il y a quelques semaines, Mika a annoncé sur Instagram, son intention d’investir dans un tout autre univers que celui de la chanson. Le chanteur a en effet décidé se positionner sur la culture du CBD, une molécule dont on parle beaucoup depuis quelques années et qui est un dérivé du cannabis. « J’ai pu me rendre compte lors de mes tournées des bienfaits de cette molécule qui apporte un nouvel équilibre dans nos vies, explique le chanteur sur son compte Instagram. J’ai donc décidé d’entrer au capital de Divie, cette jeune maison française afin d’en faire une référence européenne dans l’industrie du cannabidiol et du bien-être » a-t-il déclaré.
À l’inverse du cannabis, le CBD (cannabidiol) n’a aucun effet psychotrope et n’est donc pas du tout considéré comme un stupéfiant. Cette molécule aurait des effets positifs sur la santé et nous la retrouvons de plus en plus dans des tisanes relaxantes, des sérums « antioxydants » ou encore des shampooings purifiants et des crèmes hydratantes apaisantes.
Mika travaille quant à lui avec la marque Divie, qui formule des produits avec du chanvre cultivé dans l’Aveyron, autorisé par la loi, et sélectionné pour son très faible taux en THC (molécule psychotrope). « À titre de comparaison, le taux THC contenu dans le cannabis vendu illégalement en France (stupéfiant) oscille entre 15 % et 25 %, soit plus de 200 fois le taux contenu dans nos huiles. Toutes nos huiles sont faites en France et analysées trois fois, par trois laboratoires indépendants. » assure l’enseigne. Selon le magazine Les Échos, le marché français du CBD pourrait atteindre 700 millions d’euros dès l’an prochain, de quoi séduire de nombreux investisseurs comme Mika à l’échelle mondiale.
Aliénor de la Fontaine
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