La journaliste a réagi sur son compte Instagram, le lundi 8 mars, à l’interview accordée par le prince Harry et Meghan Markle à Oprah Winfrey. Et dans la famille Windsor, l’ex-compagne de François Hollande a choisi son camp : celui des exilés.
«Merci pour ce moment», aurait-elle pu leur glisser, en référence au titre de son livre paru après sa séparation d’avec François Hollande. Après la diffusion sur CBS, le dimanche 7 mars, de l’entretien choc accordé par le prince Harry et Meghan Markle à Oprah Winfrey, Valérie Trierweiler a tenu à donner son opinion sur les dissensions au sein du clan Windsor. «S’il fallait choisir son camp, le mien serait sans conteste celui de Meghan», a-t-elle écrit en légende d’une photographie de la duchesse, postée sur son compte Instagram le lundi 8 mars. Avant de se lancer dans une tirade romanesque : «Libre et alors ? Divorcée et alors ? Roturière et alors ? Métisse et alors ? Américaine et alors ? Insoumise et alors ?»
Monarchie d’un autre âge
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Et la journaliste de saluer le «courage» de l’ancienne actrice, qui s’est «levée contre pareille institution que cette monarchie d’un autre âge». «Qui peut imaginer le poids de cette firme ? s’est-elle révoltée. La violence des attaques ? Elle a décidé de ne pas se faire voler sa vie. Bravo à elle. #meghanmarkle» Valérie Trierweiler a néanmoins tenu à apaiser un brin les esprits : «Que de débats ! Chacun est libre d’avoir son avis.»
En vidéo, « J’étais piégé par le système », extraits de l’interview du prince Harry à CBS
« Inquiétudes » et mariage secret
Un vent de rébellion souffle donc sur son compte aux 14.000 abonnés, d’ordinaire parsemé de clichés champêtres. La quinquagénaire faisait ainsi référence à l’interview post-«Megxit» dans laquelle les Sussex ont révélé qu’un membre de la famille royale avait exprimé des «inquiétudes» au sujet de la couleur de peau de leur fils Archie. Durant ses années britanniques, Meghan Markle se serait également vu refuser une aide médicale, après avoir fait part de sa détresse psychologique aux officiels de Buckingham Palace.
Sans compter les multiples confidences du couple autour de son mariage secret, du sexe de son deuxième enfant, ou encore l’héritage de Lady Diana. Le prince Harry a également admis s’être senti «piégé» au sein de la Firme. Ces propos feraient-ils écho au passé de première dame de Valérie Trierweiler ? S’est-elle sentie «piégée» à l’Elysée ? Elle s’est en tout cas indignée dans les commentaires de sa publication sur «l’étau que représente» la vie au sein de la famille royale.
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