Dans les colonnes du Times, dimanche 13 novembre, une amie du roi Charles III et de la reine consort a donné son opinion sur le Megxit, en estimant que Meghan Markle s’attendait peut-être à une vie plus intéressante au sein de la royauté.
Ce dimanche 13 novembre, le Times a interviewé Lady Anne Glenconner, une amie du roi Charles III et de la reine consort Camilla. Dans les colonnes de nos confrères, comme l’a rapporté le journaliste royal Richard Eden sur Twitter, la mondaine de 90 ans, qui a été demoiselle d’honneur lors du couronnement d’Elizabeth II en 1953, a donné son avis sur l’union formée par Meghan Markle et le prince Harry, en taclant au passage la folie des grandeurs de l’actrice américaine.
En 2018, lorsque les amoureux se sont passé la bague au doigt, Lady Anne Glenconner était présente. Elle a alors eu l’occasion de rencontrer la duchesse de Sussex, même si cela a été rapide, ce qui n’a pas été le cas de tous les autres invités de la cérémonie. À propos du Megxit, la source de nos confrères anglo-saxons a estimé que l’épouse du prince Harry s’imaginait peut-être un avenir plus bling-bling au sein de la royauté britannique : « Je pense que le genre de choses que la famille royale doit faire [les missions et les déplacements réguliers, NDLR] n’est probablement pas très intéressant. On ne se promène pas dans un carrosse doré. »
#Royal life wasn't 'grand' enough for the Duchess of Sussex, says #KingCharles and Queen Camilla's friend Lady Anne Glenconner. From an interview in @thetimes magazine pic.twitter.com/ekJO5r5Zhh
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Une duchesse qui s’attendait à un quotidien aussi « fantastique » que son mariage ?
Lady Anne Glenconner a ensuite reconnu que le couple princier a « eu un mariage merveilleux » mais que « la vie n’allait pas » dans ce sens. « Tout mariage est fantastique, mais le lendemain, on revient à la normale… Je ne sais pas si elle pensait que tout cela allait être grandiose », a-t-elle lâché en parlant de Meghan Markle et de la déception que cette dernière aurait pu ressentir après son union avec le prince Harry. La journaliste du Times lui a ensuite demandé si la princesse Margaret, qui était elle aussi, de son vivant, un membre de la royauté anglaise qui s’est quelque peu émancipé, aurait pu compatir au cas de la duchesse de Sussex. En lançant un simple regard au sourcil arqué à l’intention de son interlocutrice, Lady Anne Glenconner a déclaré : « J’en doute. »
Article écrit avec la collaboration de 6Medias
Crédits photos : Dana Press / Bestimage
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