Jeudi 17 février 2022, Matt Pokora assure la promotion de Les grandes ambitions, une pièce de théâtre dans laquelle il joue le rôle d’Yvan. Interrogé sur la question des « plaisirs coupables », l’artiste a dévoilé une habitude dont il n’est pas très fier.
- M Pokora
- Philippe Lellouche
Matt Pokora change de registre. Pour la première fois, il foule les planches d’une scène de théâtre dans Les grandes ambitions, une pièce de théâtre d’Hadrien Raccah. Il joue le rôle d’Yvan, au côté d’Estelle Lefebure et de Philippe Lellouche. Jeudi 17 février 2022, le trio s’est retrouvé pour faire la promotion de la pièce, diffusée le 7 mars prochain en direct sur M6, dès 21h10. Ils ont pu partager des anecdote drôles sur leur temps passé ensemble au Théâtre de la Madeleine et en dehors. Une journaliste en a profité pour leur poser une question pour le moins originale : celle des plaisirs coupables. Si la mère d’Ilona Smet a admis qu’elle n’en a pas car la notion n’existe pas à ses yeux, Philippe Lellouche s’est amusé à répondre à la place de Matt Pokora. Selon lui, le papa d’Isaiah et Kenna a un penchant très prononcé pour les sucreries…
« Je ne suis pas le seul »
Cette révélation fait sourire le compagnon de Christina Milian qui serait très amateur de riz au lait et de chocolats M&M’s. S’il reconnaît avoir « pris 5 kilos pendant la pièce » à cause de cette habitude gloutonne, Matt Pokora déclare que son péché mignon est tout autre. Le père de famille adore jouer aux jeux vidéo. « Jouer à la console alors que j’ai des gosses et qu’il faut que je m’occupe d’eux« … ce n’est pas forcément très bien, confie-t-il. Il reconnaît qu’il peut passer du temps à jouer à célèbre jeu de football pendant la journée, alors que selon lui un papa doit « mettre à manger sur la table« . Il avoue qu’il aurait certainement eu une drôle d’impression si à trois ans il avait vu son père dans la même position. S’il devait nommer un plaisir coupable ce serait donc celui-ci. Même s’il estime qu’en réalité tout ce qui nous fait plaisir n’a pas à être vecteur d’un sentiment de culpabilité. « C’est générationnel« , se défend-t-il, « je ne suis pas le seul« . Le jeune homme de 36 est rentré auprès de sa famille il y a un mois. Il a passé la Saint-Valentin auprès de sa femme et semble plus comblé que jamais dans sa vie de famille. Rien que quelques heures scotché à une manette ne saurait venir ébranler.
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