Marion Cotillard : retour en images sur son expédition dans les Pôles

Marion Cotillard est une fervente défenseuse de l’environnement. Engagée dans la cause aux côtés de Greenpeace, l’actrice est actuellement en déplacement au pôle sud pour sensibiliser le grand public à la protection de la planète…

"Protéger les océans", tel est l’un des buts de Greenpeace. Pour y arriver, l’organisation a lancé une expédition de l’Arctique à l’Antarctique en avril 2019. Elle "va nous conduire sur les zones qui sont en première ligne de la bataille que nous menons pour protéger nos océans. L’aide des scientifiques à bord sera précieuse pour comprendre les bouleversements que subissent nos océans et leurs écosystèmes, mais aussi pour savoir comment agir", affirme Edina Ifticène, chargée de campagne Océans pour Greenpeace.

Et pour transmettre le message et alerter les consciences, l’organisation peut compter sur Marion Cotillard ! Depuis le 19 janvier, la femme de Guillaume Canet a embarqué sur l’Esperanza, le bateau de l’expédition, pour vivre la dernière étape à la conquête du continent austral : l’Antarctique. Le "bout du monde", décrit-elle sur son compte Instagram.

Une femme impliquée

Grâce au réseau social, la maman de Marcel et Louise Canet partage le quotidien des chercheurs avec le plus grand nombre. On peut ainsi découvrir d’incroyables paysages, et d’adorables créatures à travers des photos et des vidéos d’elle… notamment lorsqu’elle mange de la neige. "Tu penses qu’on mange des déjections de pingouins ?", demande-t-elle à un compagnon d’expédition qui lui répond "oui" sans hésiter. "C’est bon quand même", affirme l’actrice de 44 ans.

Profondément impliquée dans la mission, Marion Cotillard fait "partie du voyage en tant que témoin et ambassadrice. Ce que j’observe est fascinant et profondément remuant", assure-t-elle. Dans les eaux du continent blanc menacé par les changement climatiques et la pêche industrielle, la belle brune aux yeux bleus s’est offusquée d’avoir trouvé des bouteilles en plastiques dans cette région inhabitée par l’homme. "Un endroit où personne ne vient… À l’exception des scientifiques que nous accompagnons aujourd’hui pour compter les pingouins dans le but de témoigner des effets néfastes de l’humain sur une région censée être intacte… voilà ce qu’ils ont trouvé… une triste preuve…", déplore-t-elle avant d’inciter ses followers à signer la pétition de Greenpeace pour engager les Nations unies "dans la signature d’un traité global sur la haute mer qui permettrait de préserver 30% des océans d’ici 2030."

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