Le 16 mai 2022, Marie-Sophie Lacarrau a repris les rênes du journal de 13 heures sur TF1, après une longue absence. Atteinte d’une maladie oculaire, c’est sans prompteur qu’elle présente dorénavant l’émission. Dans le magazine Télé 2 Semaines du 4 au 17 juin 2022, elle a expliqué pourquoi elle est réticente à porter ses nouvelles lunettes à l’antenne.
- Marie-Sophie Lacarrau
En janvier 2022, Marie-Sophie Lacarrau s’absentait du plateau du journal de 13 heures de TF1. Sur Twitter, elle indiquait à sa communauté souffrir d’un « problème ophtalmo« . Remplacée par Julien Arnaud, elle redonnait de ses nouvelles en février 2022, cette fois-ci dans une vidéo où elle révélait être atteinte d’une « infection rare et sévère« , à savoir une kératite amibienne. Il s’agit d’une infection rare qui s’attaque à la cornée de l’œil. Pendant plusieurs mois, la journaliste a eu des douleurs à l’œil droit et de violents maux de crâne. Des symptômes qui l’ont contrainte à vivre dans le noir, en ne se séparant jamais d’un accessoire : ses lunettes de soleil. Lundi 16 mai 2022, Marie-Sophie Lacarrau a fait son retour aux commandes du journal de 13 heures de TF1. Elle en a profité pour adresser un message chaleureux aux téléspectateurs, elle qui avait succédé à Jean-Pierre Pernaut le 18 décembre 2020, en présentant son tout premier numéro.
« Il n’y a aucun interdit, tout est possible. Comme avant »
À cause de sa maladie oculaire, Marie-Sophie Lacarrau ne peut plus porter de lentilles de contact. Elle ne porte pas non plus ses nouvelles lunettes à l’antenne. Nos confrères de Télé 2 Semaines ont voulu savoir pourquoi. Ils lui ont donc posé la question dans une interview publiée dans le magazine du 4 au 17 juin 2022, soulignant au passage que ce choix « l’oblige à renoncer au prompteur« . « Si je les accepte volontiers dans la vie de tous les jours, j’ai encore quelques réticences à porter mes lunettes à l’antenne« , leur a-t-elle répondu. Et d’expliquer : « Je ne me reconnais pas encore tout à fait avec. Lors de nombreux essais, j’ai tout testé, dont cette formule sans lunettes mais aussi sans prompteur [l’écran situé au-dessus de la caméra et sur lequel défile le texte des lancements, ndlr.] Et c’est la configuration dans laquelle je me sens le plus à l’aise« . Présenter le journal sans prompteur ne lui « pose pas de difficultés particulières« , a-t-elle fait savoir. Et de conclure : « Pour le reste, rien n’a changé. Je suis filmée dans les mêmes axes, je peux assurer des duplex, recevoir des invités, des chroniqueurs… Il n’y a aucun interdit, tout est possible. Comme avant« .
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