L’heure est au recueillement après la mort samedi 2 novembre de Marie Laforêt à l’âge de 80 ans. Grand ami de la chanteuse et comédienne, Laurent Ruquier s’est souvenu d’un SMS échangé avec elle peu de temps avant sa mort.
Elle a côtoyé les plus grands noms au cinéma et a signé plusieurs chansons emblématiques. Avec la mort de Marie Laforêt, c’est tout un pan de la culture des années 60 et 70 qui disparaît. À l’écran, on retiendra notamment ses rôles dans Plein Soleil avec Alain Delon, un mauvais souvenir pour elle, ou encore celui dans Joyeuses Pâques avec Jean-Paul Belmondo. Derrière le micro, Marie Laforêt restera inoubliable grâce au titre Mon amour, mon ami. C’est d’ailleurs l’un de ses plus chers amis qui s’est exprimé dimanche 3 novembre dans Le Parisien.
Suite au décès de la chanteuse et comédienne samedi 2 novembre à l’âge de 80 ans, Laurent Ruquier a livré plusieurs anecdotes au quotidien concernant celle qu’il admirait depuis de nombreuses années. Car s’ils ne se sont rencontrés qu’en 2003, l’animateur de France Télévisions était depuis très longtemps un fan de Marie Laforêt. C’est lui qui avait su trouver les mots pour la faire remonter sur scène en 2005. Elle avait alors chanté ses tubes après « plus de 30 ans » d’absence, « et c’était archi complet », s’est ainsi souvenu Laurent Ruquier. « Forte tête », Marie Laforêt avait ensuite décliné la proposition d’un producteur de se lancer dans une tournée en province…
Un SMS hallucinant envoyé quelques jours avant sa mort
« Elle était comme ça, Marie », poursuit Laurent Ruquier qui ajoute que l’artiste avait « beaucoup de répondant ». Et l’animateur se servait de l’avis aiguisé de son amie pour lui dire ce qui n’allait pas dans ses émissions : « Tous les samedis, elle m’envoyait des SMS pour débriefer On n’est pas couché. Et ces commentaires n’étaient pas piqués des hannetons ». Comme exemple, Laurent Ruquier a dévoilé le récent message qu’il a reçu de la part de son amie : « Il y a quelques jours, nous avions le philosophe Raphaël Enthoven sur le plateau. Elle le trouvait très beau. “File-lui mon numéro, sait-on jamais, il est peut-être nécrophile”, m’a-t-elle écrit ! »
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