Alors que la vente de sous-vêtements est interdite depuis le début du troisième confinement, plusieurs commerçantes ont décidé d’envoyer des culottes à Jean Castex par le biais de La Poste.
A propos de
Jean Castex
Les commerçantes sont en colère contre Jean Castex. Depuis l’annonce d’un troisième confinement, plusieurs mesures restrictives ont été prises, et parmi elles, la fermeture des commerces et rayons considérés comme non-essentiels. Les rayons vendant des sous-vêtements sous concernés. Pour dénoncer cette décision, plusieurs vendeuses de lingeries ont pris l’initiative d’envoyer des culottes à Matignon, au Premier ministre.
« Non, une culotte n’est pas non essentielle, » estime une commerçante auprès du Huffington Post. Et d’ajouter : « Non, mettre une culotte tous les matins n’est pas à reléguer au second plan, on a tout à fait le droit d’être ouvertes. On a trouvé ça rigolo et plein de sens d’envoyer une culotte au gouvernement pour lui dire que nous n’étions pas contentes. » Au total, ce sont déjà plus de 80 culottes qui ont été transmises au successeur d’Edouard Philippe.
#actionculottee #nonessentiel pic.twitter.com/RtJjRS0dSN
Isabelle Balkany dénonce cette mesure
Dès le 29 mars dernier, avant même le discours d’Emmanuel Macron, Isabelle Balkany poussait un coup de gueule sur Twitter après la fermeture des rayons de sous-vêtements. « Monsieur Macron, monsieur Castex, monsieur Véran, un chaleureux MERCI… Grâce à vous, la purge des « courses » est devenue un gag !« , s’était-elle insurgée. Et d’ajouter : « Vente des socquettes pour femmes à nouveau autorisée… mais vente des petites culottes toujours interdite…Top, les filles, on a le cul nu, mais les pieds au sec ! » Des mots qui avaient été particulièrement relayés par d’autres internautes partageant ses mots.
Crédits photos : Eric Tschaen / Pool / Bestimage
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