Lorie Pester « revit » depuis son hystérectomie

Voilà une décision difficile que Lorie Pester ne regrette pas. La chanteuse, actrice et même commentatrice, a su garder la positive attitude, comme on peut le constater dans le dernier numéro de Gala. Elle y confie avoir subi une ablation de l’utérus suite à la naissance à sa fille Nina, le 11 septembre 2020, après un parcours chaotique vers la maternité à cause de l’endométriose. Cette maladie touche une femme sur deux en âge de procréer.

La chanteuse, qui avait alors 38 ans, avait annoncé la nouvelle sur les réseaux sociaux. « Je n’avais rien dévoilé jusqu’à présent aussi par superstition. Pendant la grossesse je redoutais que quelque chose de néfaste ne se produise, pas très rationnel j’en conviens… », a-t-elle confié.

« J’avais trop mal »

Un répit de courte durée : les douleurs de l’endométriose se sont intensifiées après l’accouchement. « Il n’y a plus de douleurs parce qu’il n’y a plus de règles. Mais après la naissance de Nina, ça se répercutait dans mes jambes, dans le dos. J’étais si fatiguée que je tombais dans les pommes. J’avais comme une boule de pétanque dans le ventre… », a-t-elle expliqué à la publication.

Dès lors, la solution de l’hystérectomie a doucement fait son chemin, par le biais d’une psychologue. « Elle m’a dit qu’on sacralisait trop cet organe qui ne sert qu’à une chose : avoir des enfants. Et de toute façon, je n’avais pas le choix, j’avais trop mal », détaille-t-elle.

Un mal pour un bien. « Depuis l’ablation, je revis », déclare celle qui est passée réalisatrice dans Demain nous appartient.

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