Loana : À la rue avec sa mère !

La première star de télé-réalité est sur le point de se retrouver sans toit à la fin de l’hiver…

En plus de vingt ans, Loana Petrucciani est passée par tous les états. Gagnante de Loft Story, égérie, mannequin, chanteuse, styliste, animatrice, elle a été sous le feu des projecteurs pendant une demi-douzaine d’années avant d’amorcer un lent déclin, parsemé de nombreuses tentatives de suicide, d’hospitalisations à répétition, de prises d’alcool et de drogue et de son implication dans des faits divers plus ou moins sordides.

Sa fragilité et son instabilité sont connues : elles sont dues à un parcours de vie, notamment familial, compliqué et violent.

Sa relation avec sa mère en est l’amère illustration. Alors qu’il y a près de deux ans, Loana portait plainte contre Violette pour « harcèlement, escroquerie, bande organisée, abus de faiblesse, abus de confiance, abus de pouvoir, séquestration, coups et blessures », elle vit désormais auprès de celle-ci, à Vence (Alpes-Maritimes).

Un énième retournement de situation dont l’ex-star de la télé-réalité – qui s’affirme bipolaire – est coutumière. Ainsi dans un entretien accordé à Public, Loana vient de donner de ses nouvelles, qui ne sont pas très bonnes, notamment d’un point de vue financier.

Errance

« Aujourd’hui, je suis au RSA, affirme-t-elle. Je fais quelques dédicaces sur le site Vidoleo, mais ce revenu mensuel n’est pas énorme. Ce n’est pas facile tous les jours. » D’autant moins facile que sa mère a des rentrées de misère. « Elle ne gagne que 90 euros par semaine et on va devoir partir de chez nous après la trêve hivernale, poursuit Loana. Il faut que je la place : j’ai trouvé un foyer pour seniors pour dans quelques mois. »

Vous avez bien lu. Loana et sa mère seront bientôt à la rue ! Pas de quoi, cependant, couper les ailes de cette femme en pleine reconstruction après des années d’errance et qui se dit prête à retrouver l’amour. « Pour l’instant, ce qui me préoccupe, c’est l’avenir de ma mère, conclut-elle. On verra après, pour un travail ou un amoureux. » 

Louis-Paul CLÉMENT

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