Les propos de Sophie Marceau sur le monde du travail dans la matinale de Léa Salamé risquent de mettre le feu aux poudres !

Invitée de Léa Salamé sur France Inter ce lundi 8 mai, Sophie Marceau a constaté que le monde avait "beaucoup changé en 40 ans". L’actrice note notamment que, à son époque, le thème des vacances n’était jamais, ou rarement, évoqué.

Le monde a changé et Sophie Marceau s’en rend compte chaque jour. Elle a déjà pu évoquer les « codes » qui ont évolué avec le temps lors d’un entretien avec nos confrères de ELLE, le jeudi 27 avril, et a une nouvelle fois voulu parler de ces « changements » lors de son passage chez Léa Salamé. Invitée ce lundi 8 mai sur France Inter, l’actrice de 56 ans s’est notamment penchée sur le cas des « vacances ».

En effet, pour elle, « aujourd’hui, on parle de vacances comme un truc évident : ‘alors qu’est-ce que je vais faire de mes vacances prochaines ?’ », a-t-elle confié. Mais à son époque, « on ne parlait pas de vacances » car les gens « travaillaient tout le temps », peut-être même « un peu trop ».

De fait, pour Sophie Marceau, les familles avaient « moins de temps de s’intéresser aux autres, de prendre du temps pour parler » car les pensées premières étaient liées au travail. Un rythme de vie qui ne donnait pas le temps à se plaindre : « Oui, c’est ça c’était concret. Il fallait savoir comment manger, savoir comment arriver à la fin du mois ». La maman de Vincent et Juliette nuance toutefois : « Ce n’était pas dramatique non plus hein ».

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Comment le monde a changé selon Sophie Marceau

Il lui est souvent arrivé de parler de « cette époque » avec ses parents et la comédienne assure qu’ils en gardaient « plutôt de bons souvenirs ». Bons souvenirs ou pas, elle reconnaît malgré tout qu’il y avait un « manque d’ailleurs, un manque d’ouverture sur le monde ». Et la mère de famille semble connaître la raison de cela.

Selon elle, à l’époque de ses parents, il n’y avait pas un accès aussi aisé « à la culture ». À présent, avec Internet, les choses ont changé. « Avant, pour avoir un disque, un livre, il fallait marcher, aller loin, il fallait dépenser de l’argent… et le budget n’était pas destiné à ça », se souvient-elle, presque nostalgique.

R.F

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