Le confinement des Français aurait-il eu un impact sur la blance ? Manifestement, oui !
Vous vous sentez un à l’étroit dans votre jean ? Vous redoutez de monter sur la balance ? Peu étonnant.
D’après une étude dévoilée par Darwin Nutrition, un site d’information et de conseil consacré à l’alimentation saine, le confinement a joué sur le poids des Français !
Stress, anxiété, manque d’activité physique, grignotage : nombreux sont les facteurs qui ont poussé les Français à grossir pendant cette période de confinement inédite.
Mais qu’en est-il vraiment ? Une étude de l’Ifop lève le voile sur les conséquences du huit clos sur la morphologie des Français, leur équilibre alimentaire et la manière dont les couples confinés ensemble se sont répartis la charge liée la préparation des repas.
3000 personnes se sont portées volontaires pour participer à l’étude, et globalement, on peut retenir deux choses :
1) le poids des Français a évolué, dans mais pas dans le même sens pour tout le monde…
Le confinement a favorisé une prise de poids chez 57% des Français : en moyenne 2,5 kilos depuis le 17 mars.
Cet excès de poids aurait plus affecté les hommes (58%) que les femmes (41%). Notez également que le nombre de kilos pris durant le confinement s’avère plus élevé chez les hommes (+ 2,7 kilos) que chez les femmes (+ 2,3 kilos).
Dans le sens inverse ? 29% des personnes interrogées déclarent avoir perdu des kilos pendant le confinement. En revanche, 14% des hommes et des femmes qui ont répondu à l’étude n’ont pas vu leur poids changer.
D’après Quentin Molinié de Darwin Nutrition :
La prise de poids n’est pas un problème en soi, et était prévisible dans un contexte de stress et de dépense énergétique limitée. Plus de temps à la maison signifie plus de temps consacré à la préparation des repas mais aussi plus d’occasions de grignoter.
2)La prise de poids inquiète plus les femmes
Même si la proportion de personnes en surpoids est plus faible dans la gent féminine (46%) que masculine (59%), les femmes françaises s’avèrent beaucoup plus nombreuses (61%) que leurs homologues masculins (47%) à être tristes et soucieuses de leurs poids. « Good to know ».
Aux États-Unis, celle pour qui le confinement a réussi, c’est la chanteuse Adèle, méconnaissable et très en forme sur ce nouveau cliché.
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