Léa Salamé sans filtre en évoquant “le mariage le plus réussi de sa vie”

À l’occasion d’un décryptage du succès de France Inter par le magazine Le Point, Léa Salamé et Nicolas Demorand ont évoqué leur admiration mutuelle.

Entre Léa Salamé et Nicolas Demorand, l’entente et parfaite, les deux voix de la matinale de France Inter s’accordent parfaitement et leur complicité séduit puisque c’est la matinale la plus écoutée de France, avec en moyenne 4,3 millions d’auditeurs chaque jour. Dans un article publié ce dimanche 23 janvier par Le Point, les deux journalistes se sont confiés sur leur collaboration et leur succès. Tous deux sont sur la même longueur d’ondes : ils ne changeraient pour rien au monde de binôme. Nicolas Demorand reconnaît que « de ce mariage arrangé est née une amitié professionnelle » tandis que Léa Salamé y voit carrément « le mariage le plus réussi de sa vie« .

Le duo apparaît pour la première fois ensemble à l’antenne en 2017. Laurence Bloch, la directrice de France Inter, s’est souvenue pour le magazine de débuts difficiles mais rapidement transcendés : « Ils se sont reniflés, regardés, un peu frités et, comme ils sont intelligents, ils ont pris conscience de leur complémentarité. C’est vraiment un couple qui donne de la puissance à la matinale. » « Nous n’avons plus besoin de nous parler pour nous comprendre« , a ajouté Léa Salamé.

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Une « radio bobo parisienne » ?

De nombreuses critiques à l’égard de la chaîne de radio du service public se sont fait entendre ces dernières années. Taxée de partiale, de radio de gauche, Éric Zemmour et Marine Le Pen souhaitent même la privatiser, à l’image de tout le service audiovisuel public. De son côté, Léa Salamé rétorque : « Contrairement au procès qu’on a pu nous faire, il y a une multitude d’opinions dans cette matinale qui n’a rien de monochrome. France Inter n’est pas une radio bobo parisienne. »

La journaliste regrette de voir que certains candidats à l’élection présidentielles veulent faire voter cette loi. « Les candidats ont le droit de vouloir privatiser le service public. Mais avant, il faut penser que ce sont des milliers de programmes, notamment culturels et pour les enfants.N’oubliez pas aussi qu’une écrasante majorité de Français suivent Le 7/9 et France Inter. Pourquoi changer ce qui est plébiscité ?« 

Article écrit en collaboration avec 6Medias.

Crédits photos : COADIC GUIREC / BESTIMAGE

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