Ce jeudi 4 juin, Léa Salamé sera aux commandes d’un numéro spécial de Vous avez la parole sur France 2, consacré à l’après-confinement. L’occasion pour la journaliste de se confier sur son propre ressenti face à cette situation inédite.
Léa Salamé
Quelle drôle de période que le confinement. Pendant plus de deux mois, la France a été mise brutalement à l’arrêt. Si certains ont tenté de se concentrer sur les aspects positifs de cette situation inédite, d’autres l’ont vécue plus douloureusement. Les craquages ont été nombreux. Léa Salamé fait plutôt partie de cette seconde catégorie, comme elle le concède. Ce jeudi 4 juin, la journaliste sera aux commandes, aux côtés de Thomas Sotto, d’un nouveau numéro de Vous avez la parole sur France 2. Une émission qui sera consacrée à l’après-confinement et coronavirus. L’occasion donc pour cette dernière de se confier sur son propre ressenti. « Pour quelqu’un comme moi, stressée, qui jongle entre trois jobs à la radio et à la télé, cet arrêt forcé m’a d’abord fait trébucher », explique la compagne de Raphaël Glucksmann dans les colonnes du Figaro ce jeudi 4 juin.
Pire encore. Cet enfermement forcé, elle l’a vécu d’une manière particulièrement violente. « Les trois premières semaines ont été d’une souffrance absolue. J’avais le sentiment qu’on m’enlevait ma liberté », détaille-t-elle. Pourtant, Léa Salamé n’a pas vraiment eu le temps de chômer. Si son magazine Stupéfiant a été mis entre parenthèses, elle a tout de même continué à animer quotidiennement la matinale de France Inter – et depuis le studio, et non pas à domicile comme la plupart. Et elle a également animé deux numéros de Vous avez la parole consacrés à l’épidémie et au confinement. De quoi lui permettre de garder un pied dans une vie à peu près « normale ». Passée cette période d’adaptation, Léa Salamé est d’ailleurs parvenue à apprécier les conséquences du confinement. « Le silence, l’ennui, le ralentissement, le vide… Toutes ces choses qui m’effrayaient m’ont finalement apporté de la sérénité », avoue-t-elle.
Léa Salamé a pu profiter de son fils
D’autant qu’à l’instar des élections européennes où elle s’est mise en retrait, Léa Salamé en a sans doute profité pour passer davantage de temps avec son fils de trois ans, Gabriel. « Je n’ai pas assez de temps pour mon fils, et cela me ronge. Je pars très tôt le matin, il ne me voit pas », déplorait-elle auprès de Gala. Cette maman privilégie donc la qualité à la quantité de ces moments mère-fils. Elle savoure chaque instant passé ensemble, comme c’était le cas lors des Européennes. « Je me suis occupée de mon fils, je lui ai lu plus d’histoires, j’ai joué avec lui… », listait-elle avec bonheur dans les colonnes de Grazia. Deux mois dans une bulle enchantée dont elle a à nouveau profité pendant le confinement. Si bien qu’au moment du déconfinement, elle en était « même nostalgique ». Et de nuancer dans un éclat de rire : « Enfin pas plus de deux jours ».
Envie d’un petit moment de détente ?
Abonnez-vous au coaching Bien-être à la maison by Voici !
Source: Lire L’Article Complet