Le prince Philip agacé par sa belle-sœur Margaret : leur relation n’a pas toujours été simple

Les relations entre le prince Philip, l’époux d’Elizabeth II, et la sœur de cette dernière, Margaret, ont parfois été tendues. Une révélation faite dans le livre « Elizabeth et Margaret, dans l’intimité des sœurs Windsor », paru le 28 avril dernier.

Un livre intitulé Elizabeth et Margaret, dans l’intimité des sœurs Windsor, écrit par Andrew Morton, vient de paraître, ce jeudi 28 avril, aux éditions de l’Archipel. L’ouvrage revient sur la relation entre la reine Elizabeth II qui vient de fêter ses 96 ans, et sa sœur cadette, Margaret, décédée à l’âge de 73 ans, le 9 février 2002. On y apprend également qu’entre l’époux de la souveraine, décédé il y a un an, et sa belle-sœur, les relations ont parfois été tendues. Cette dernière trouvait le prince Philip un peu trop autoritaire à son goût.

Au début de leur mariage, Elizabeth II et son mari passaient régulièrement leurs week-ends à Windeslam Moor où ils étaient rejoints par Margaret. La jeune fille est rapidement agacée par   »les ordres brusques et le langage sec » de l’officier de marine, comme le rapporte l’auteur du livre. Un jour, le duc d’Édimbourg interdira même au personnel d’apporter le petit-déjeuner au lit à la sœur de la reine, comme elle en a l’habitude le week-end. Andrew Morton livre aussi une autre anecdote qui a encore un peu plus crispé les relations entre Margaret et le prince Philip. Ce dernier aurait refusé que la fille cadette de Georges VI s’attarde à une réception, lui apportant son manteau afin qu’elle rentre en même temps que lui et son épouse. Selon l’auteur, face à cet excès d’autorité, Margaret aurait réagi comme une adolescente de bientôt 18 ans, avec « une indifférence désinvolte et une détermination à ne pas se laisser intimider  ».

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Margaret jalouse de sa sœur, la reine Elizabeth II ?

Il faut dire que Margaret était quelque peu jalouse de l’histoire d’amour que vivait sa grande sœur avec le prince Philip, selon Andrew Morton. En 1942, alors que le couple séjournait quelques jours chez la famille royale, Elizabeth II a pu danser avec celui qui deviendra son futur mari cinq ans plus tard. Un privilège qui a rendu jalouse sa jeune sœur qui, elle, n’était autorisée qu’à danser avec son père. « C’est si injuste, doit-elle penser, Lilibet [surnom d’Elizabeth, ndlr] a tout, alors qu’elle n’a rien« , a écrit l’auteur. Et ce dernier de poursuivre : « Elle a l’entière attention de leur père, et voilà qu’elle a un petit ami à présent. »

Article écrit en collaboration avec 6Medias.

Crédits photos : ALPHA AGENCY / BESTIMAGE

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