Ancien attaché de presse d’Elizabeth II, Dickie Arbiter exige des « excuses publiques » de la maison d’édition du prince Harry. Dans un message publié sur Twitter ce jeudi 12 janvier, et relayé par The Independent, il accuse le duc de Sussex d’allégations à son encontre et d’avoir tenu des propos vindicatifs.
Avec ses mémoires, le prince Harry n’éclabousse pas que sa famille. Ancien attaché de presse d’Elizabeth II, Dickie Arbiter exige des « excuses publiques » de la maison d’édition du prince Harry. Une demande formulée sur Twitter ce jeudi 12 janvier. Selon lui, un passage de son ouvrage intitulé Le Suppléant (aux éditions Flammarion) lui est destiné à tort. S’il n’est pas nommé, il affirme « qu’une citation » pourrait le concerner.
The Independent souligne qu’il s’agit du moment où le prince Harry revient le débat mené par « un groupe de commentateurs royaux », surnommé « le jury de Fleet Street », sur un article du DailyMail datant de 2020 sur son départ de La Firme. « Parmi [le jury] se trouvait l’ex-secrétaire de presse de la reine, qui a conclu, avec ses collègues jurés, que nous devrions dorénavant ‘n’attendre aucune pitié’« , écrit le prince Harry dans ses mémoires.
What are @penguinrandom going to do about correcting this allegation against me – I never said anything of the sort. How about a public apology pdq? https://t.co/9mFI7oIqNl
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Dickie Arbiter se défend contre les propos du prince Harry
Avant d’ajouter : « J’ai secoué la tête. ‘Pas de pitié’. Le langage de la guerre ? » Regrettant que l’on puisse penser qu’il faisait partie de ce groupe, Dickie Arbiter assure à nos confrères : « Bien que je ne sois pas mentionné nommément – faisant référence à ‘l’ex-secrétaire de presse de la reine’ – c’est par association qu’en étant le seul ancien courtisan, régulièrement contacté par les médias, que l’auteur me montre du doigt« .
Et de se défendre : « Je souhaite qu’il soit parfaitement clair qu’on ne m’a pas demandé de faire partie du ‘jury’ et je n’utiliserais certainement pas des mots comme : ‘N’attendez aucune pitié’. Je demande donc à Penguin Random House (la maison d’édition du prince Harry, ndlr) de reconnaître cette erreur de représentation ». Le média souligne que selon les recherches du Times « c’est Sir Trevor Phillips, le radiodiffuseur et ancien président de la Commission pour l’égalité et les droits de l’homme, qui a fait ce commentaire ».
Crédits photos : JLPPA / Bestimage
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Lorsqu’ils ont annoncé leur volonté d’apparaître dans un documentaire Netflix pour raconter leur vérité, Meghan Markle et le prince Harry ont fait trembler la Couronne. Si les premiers teasers laissaient présager du pire, la famille royale britannique a finalement été relativement épargnée, les époux Sussex préférant s’attaquer à la presse anglaise.
Malgré la mort de sa grand-mère Elizabeth II en septembre 2022, le prince Harry n’a pas changé ses plans. En parallèle du documentaire Netflix, le frère du prince William a prévu de sortir ses mémoires, qui pourraient s’annoncer « explosives » si l’on en croit les tabloïds britanniques, au mois de janvier 2023. Un ouvrage intitulé Spare, dans lequel le père d’Archie et Lilibet devrait dévoiler les coulisses de la famille royale, en livrant là encore sa vérité, quitte à froisser les membres de la Couronne…
En marge du Mondial de football 2022, le prince William, qui est aussi prince de Galles depuis que son père Charles III a accédé au trône, s’est attiré les foudres des supporters Gallois en remettant son maillot à l’équipe d’Angleterre en vue de la coupe du monde au Qatar. Face à la polémique, l’époux de Kate Middleton a finalement refusé de trancher entre les deux équipes. Dans un tweet daté du 21 novembre, il a souhaité « bonne chance » à l’Angleterre et au Pays de Galles.
Ces dernières années, plusieurs employés travaillant pour Meghan et Harry ont claqué la porte. Depuis 2018, déjà quatorze personnes ont démissionné selon le Daily Mail. Les Sussex seraient-ils des patrons tyranniques ?
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