Le prince Harry est-il de mauvaise foi concernant ses finances ? Un rapport de Clarence House vient de sortir, et démontre que le prince Charles lui a bien donné une somme "substantielle" en 2020, pour le soutenir, après le Megxit.
« Ma famille m’a littéralement coupé le robinet financier » avait assuré le prince Harry à Oprah Winfrey en mars dernier, avant d’expliquer que pour déménager à Los Angeles, en 2020, sans le sou, il n’avait pu compter que sur l’héritage de sa maman, la princesse Diana. Le prince Harry a semble-t-il manqué d’honnêteté comme le prouve le Sun, ce 24 juin…
Le prince Harry aurait perçu environ 2,5 millions d’euros
Le tabloïd a en effet épluché le rapport annuel du prince Charles pour 2020, qui est sorti cette semaine et y a trouvé que la somme rondelette de 4,45 millions de livres sterling (5,19 millions d’euros), avait été versée aux princes William et Harry pour « financer leurs activités » cette année là. Bien que le détail de ce paiement n’a pas été explicité par Clarence House, le Sun assure qu’habituellement la somme est partagée entre les deux frères (ce qui signifie que Harry a pu toucher au maximum 2,5 millions d’euros).
Pour qu’il n’y ait aucune méprise, l’entourage du prince Charles fait savoir : « En janvier 2020, lorsque les Sussex ont annoncé qu’ils allaient s’éloigner de la famille royale qui travaillait, le duc a déclaré qu’ils travailleraient pour devenir financièrement indépendants. Le prince de Galles a alloué une somme substantielle pour les soutenir. Ce financement a cessé à l’été 2020 et le couple est maintenant financièrement indépendant« .
« Il me considère comme une pompe à fric »
Une découverte qui met à mal les déclarations du prince Harry, qui a assuré qu’on lui avait brutalement coupé les vivres, comme si cela n’avait pas été convenu au préalable avec son papa. Depuis, il n’aurait par ailleurs eu de cesse de lui téléphoner pour lui (re)demander de l’argent. Au point où Charles a fini par contacter la presse pour balancer, comme une indiscrétion que Harry le considérait « comme une pompe à fric », comme l’explique Marc Roche, journaliste du Point.
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