Nouveau venu dans Le mag de la santé sur France 5, Regis Boxelé vient de trancher. Entre sa participation sur France 5 et ses patients dans son cabinet, le médecin n’a pas hésité une seconde.
C’est en janvier 2018 que nous faisons la connaissance de Régis Boxelé dans Le journal de la santé sur France 5. Médecin du sport improvisé chroniqueur une fois par semaine, sa présence aux côtés de Marina Carrère d’Encausse à la place de Michel Cymes a triplé depuis peu, nous permettant de retrouver ses conseils avisés trois fois par semaine. Un emploi du temps qui oblige un certain talent de jongleur pour ce médecin qui pratique toujours en cabinet à Paris. « Je tourne l’émission en direct le lundi et le jeudi, celle du vendredi étant enregistrée, vient-il de détailler auprès de nos confrères de Télé Loisirs. Les jours de tournage, j’arrive à 8h30 pour tout préparer. Je participe à la conférence de rédaction, durant laquelle on débat des sujets. Avec Marina [Carrère d’Encausse NDLR], on prépare l’émission, on se met à jour sur certains sujets, on lit les livres des invités. Le tournage se termine vers 15h30, et alors je change de casquette et je file au Paris Saint-Germain Handball, où je consulte jusqu’à 20 heures. Le mardi, je reçois des patients à l’Institut médical sport santé, dans le 16ème arrondissement de Paris. »
Présenter ou consulter ? Il a choisi
Dans son entretien avec le magazine télé (dont l’intégralité sera diffusée en kiosque le lundi 17 février 2020), Régis Boxelé se voit proposer un affreux dilemme. Nos confrères lui ont demandé de choisir entre ses consultations en médecine du sport et sa casquette de chroniqueur sur France 5. « Ce serait trop difficile d’abandonner les patients. Ne plus faire du tout de patientèle me manquerait », tranche-t-il sans fermer la porte aux producteurs télé pour autant. Si on lui faisait une « GROSSE PROPOSITION », Régis Boxelé y réfléchirait à deux fois. « Ce que je fais à la télé me passionne, conclut-il. A chaque émission, il faut donner le maximum et le lendemain, les chiffres d’audiences tombent. Je suis la vitrine de 30-40 personnes qui travaillent dans l’ombre, je dois les représenter au mieux. C’est un challenge. »
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