Ce lundi 18 novembre, TF1 a lancé sa série événement, Le Bazar de la Charité. Et si la plupart des téléspectateurs a semblé très emballés, cela n’a pas été le cas de Christine Bravo. L’animatrice a été très dure dans ses critiques.
Inspirée d’un incendie qui a fait plus d’une centaine de victimes, principalement féminines, en 1897, LeBazar de la Charité est la nouvelle série de TF1. Portée par Camille Lou, Josiane Balasko ou encore Julie de Bona, cette fiction est tournée vers l’international grâce au partenariat avec Netflix. Se positionnant donc comme un fleuron de la fiction française, cette nouvelle création a subjugué en moyenne 6,8 millions de téléspectateurs ce lundi 18 novembre. Les deux premiers épisodes, malgré certaines images parfois difficiles à regarder pour un public sensible, ont été largement applaudis sur les réseaux sociaux. Mais faire l’unanimité étant quasiment impossible, certaines personnes ont tout de même détesté. C’est le cas de Christine Bravo qui ne s’est pas gênée pour le dire sur Twitter. L’animatrice de Sous les jupons de l’histoire pensait avoir affaire à une série historique à la précision documentaire. Forcément, elle a été déçue…
Le Bazar de la Charité perd une téléspectatrice
Christine Bravo a estimé que l’incendie, qui lance toute l’intrigue de la série, avait été trop mis en avant : « Durée interminable et pathétique de l’épisode 1 sur l’incendie du Bazar de la Charité sur TF1, a-t-elle critiqué. J’avais le fol espoir que sur une chaîne de grande écoute, l’Histoire, la VRAIE, prendrait le pas sur un sensationnalisme de bas étage ! L’incendie du Bazar de la Charité ne méritait pas l’obscénité d’une mise en scène genre la tour infernale. » A cheval sur les faits historiques, l’animatrice n’a pas digéré le fait que la série fasse l’impasse sur les célébrités de l’époque qui ont péri dans les flammes. « Zéro allusion à la duchesse d’Alençon… sœur de Sissi, impératrice d’Autriche ! Dingue ! », s’est-elle indignée. « Ce n’est pas une série historique Christine… L’incendie est juste un point de départ pour retracer l’histoire de trois femmes », lui a fait remarquer une internaute. « Alors il fallait changer le titre, a répondu Christine Bravo. Genre : le bazar chez trois meufs. » Les scénaristes auraient dû y penser !
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