Laurence Boccolini souffre de polyarthrite : elle donne des nouvelles de son état de santé

Depuis plus de dix ans, Laurence Boccolini doit vivre quotidiennement avec la douleur que lui inflige sa polyarthrite rhumatoïde. Ce vendredi 28 août, l’animatrice qui débarque sur France 2 a donné des nouvelles de son état de santé.

Laurence Boccolini

Pendant une dizaine d’années, Laurence Boccolini a gardé le secret de sa maladie. Jusqu’à ce jour de 2018 où elle a finalement accepté de prendre la parole. De se libérer de ce fardeau. Depuis, l’animatrice évoque régulièrement ses douleurs, inquiétant parfois même ses fans en publiant des photographies d’elle à l’hôpital. Si elle garde au maximum son lumineux sourire et tente de rester positive, Laurence Boccolini a du mal à cacher la souffrance qui la ronge. Mais pas question de laisser sa polyarthrite-rhumatoïde prendre le dessus et la priver d’une vie normale que ce soit avec sa fille de bientôt 7 ans, Willow ou dans son travail. Pour preuve, elle vient d’accepter de se lancer dans le rythme effréné des jeux quotidiens. Lassée de « tourner en rond » et d’attendre un coup de téléphone de TF1 qui n’arrivait jamais, l’animatrice a décidé de claquer la porte. Direction France 2 où elle sera aux commandes de Mot de passe, dès ce lundi 31 août.

« Mon état n’empire pas »

Mais son état de santé lui permettra-t-il de supporter les longs et épuisants tournages qui l’attendent ? Laurence Boccolini n’en fait pas mystère. « Pour enregistrer 8 numéros de Mot de passe par jour, il faut forcément la santé, ne vous inquiétez pas ! », assure-t-elle se voulant rassurante, dans les colonnes du Parisien ce vendredi 28 août. Si cette maladie auto-immune dont souffre la compagne de Mickaël Fakaïlo « ne peut pas vraiment se guérir », elle est tout de même « sous traitement », et surtout son « état n’empire pas ». « Ça fait très longtemps que j’en souffre, mais ça ne m’a jamais empêchée de travailler. Je suis une battante », assure-t-elle. Sa fillette n’est d’ailleurs pas totalement étrangère à la volonté de Laurence Boccolini de ne pas en faire une épreuve insurmontable. « Quand ma fille me plaint et me dit : ‘Oh ma pauvre maman’, je retrouve le sourire immédiatement ! », s’enthousiasme-t-elle. Le plus beau des moteurs.

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