Laurence Boccolini en a plus qu’assez. Dans une interview parue sur les ondes de RTL le 21 novembre 2020, l’animatrice a confié sa lassitude concernant le comportement de certains internautes sur les réseaux sociaux.
- Laurence Boccolini
Laurence Boccolini a décidé de s’expliquer. Auparavant très active sur les réseaux sociaux, l’animatrice en est arrivée à réduire l’utilisation. La raison ? La quinquagénaire était constamment victime de cyber-harcèlement de la part de certains internautes. « Je ne suis plus sur Facebook, ni sur Twitter d’ailleurs. Car c’était une déferlante de haine au moindre commentaire« , a-t-elle déclaré au micro de RTL le 21 novembre, avant d’en évoquer brièvement la raison : « J’ai dû répondre à un internaute sur une caméra cachée je crois, un truc que j’ai osé critiquer. J’ai reçu une déferlante de haine. C’était des menaces de mort. Des menaces de mort aussi sur ma fille ». L’ancienne présentatrice du Maillon faible en est arrivée à faire un triste constat : « À un moment vous vous dites qu’il y a des gens, et des émissions sur lesquels vous ne pouvez pas parler. C’est quelque chose de tabou. Il n’y a plus de liberté d’expression ». Et malgré des coups de gueule répétés, Laurence Boccolini a été victime d’usurpation d’identité à plusieurs reprises.
Laurence Boccolini, victime d’arnaques sur les réseaux sociaux
Pourtant à une époque, Laurence Boccolini appréciait forcement le fait d’interagir avec les internautes : « J’aimais bien Twitter parce que j’y ai rencontré plein de gens que je connais maintenant. Que j’ai vraiment rencontrés qui sont devenus des gens que j’aime beaucoup ». Mais ce temps semble bel et bien révolu : « Si c’est pour me prendre des déferlantes de haine pour rien, je n’ai pas envie d’y être. Et donc j’ai tout arrêté, j’ai tout enlevé ». Néanmoins, l’animatrice le précise tout de même : « Je n’ai plus qu’Instagram« . C’est donc bien elle à l’initiative des nombreux coups de gueule au sujet des publicités mensongères circulant sur la Toile : « Beaucoup font des publicités complètement hallucinantes, qui volent nos images, nos photos et qui vous vendent des pilules miracles pour maigrir. Ils disent que c’est moi qui fais la publicité. Ils piquent plein d’images récentes et les gens y croient parce qu’ils cliquent ».
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