"L’argent des parisiens ne doit pas servir à acheter des culottes et collants", le nouveau coup de sang de Rachida Dati contre Anne Hidalgo !

Invitée sur les ondes de Sud Radio ce lundi 20 mars 2023, Rachida Dati n’a pas mâché ses mots concernant la maire de Paris Anne Hidalgo. L’ancienne ministre de la Justice de France a notamment dénoncé les notes de frais de sa rivale.

Rachida Dati n’a jamais caché ses divergences avec la maire de Paris Anne Hidalgo. Invitée sur les ondes de Sud Radio ce lundi 20 mars 2023, l’ancienne ministre de la Justice de France s’en est prise, une nouvelle fois, à sa rivale. La raison ? Les notes de frais « injustifiées » de cette dernière. « Anne Hidalgo a été pressée pendant quelques années de dévoiler ses notes de frais, ce qu’elle a fait vendredi dernier après un bras de fer de plus de 5 ans. On y apprend justement les dépenses de vêtements de marque en 2017 », a rapporté le journaliste avant de demander son avis à la Maire du 7e arrondissement de Paris.

Selon elle, « Madame Hidalgo est réfractaire au droit. À chaque fois, elle ne réagit qu’après une condamnation. Les notes de frais, c’est quoi ? C’est de l’argent des Parisiens qu’elle utilise pour elle. Ça fait 5 ans qu’un journaliste lui demande de donner l’utilisation de cet argent des Parisiens. »

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De l’argent qui, d’après de récentes révélations, serait utilisé pour des achats personnels. « Que révèlent ces notes de frais ? », interroge Rachida Dati. « Des achats de collants, des achats de dessous, des achats de chaussures, des achats de robes Dior ou Courrèges… Ce sont les mêmes qui font des leçons de morale à tout le monde. Et l’argent des Parisiens ne doit pas servir à acheter des collants, des culottes ou autres. »

Pour le journaliste, les achats de ses vêtements de luxe sont justifiés. « Elle dit que c’était pour représenter la ville de Paris », a-t-il expliqué sous le regard désabusé de Rachida Dati qui assure avoir, de son côté, « toujours payé (s) es vêtements ». Et de conclure : « Nous voulons savoir ce qu’elle fait de l’argent des Parisiens à titre personnel. » La guerre est déclarée !

V.B

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