Dans son livre « Laeticia H. Au cœur du clan Hallyday » à paraître ce jeudi 28 novembre, Laurence Favalelli, ancienne agente artistique de Laeticia Hallyday, dépeint les agissements de la veuve en pleine bataille judiciaire. Non Stop People vous en dit plus.
L’ancienne agente artistique de Laeticia Hallyday, Laurence Favalelli, dresse un portrait sans concession de la veuve dans son livre « Laeticia H. Au cœur du clan Hallyday », aux éditions Michel-Lafon, à paraître ce jeudi 28 novembre. Après avoir passé six années auprès de la famille Hallyday, cette Corse de 43 ans raconte son expérience durant laquelle elle a été assistante de Sébastien Farran, ancien manager de Johnny Hallyday, puis agente artistique de Laeticia Hallyday jusqu’à la fin 2018. Celle qui a mis fin à sa collaboration avec Laeticia Hallyday en dénonçant « des agissements fautifs et répétés » de la veuve, revient sur la bataille judiciaire qu’elle livre contre Laura Smet et David Hallyday.
Une guerre qu’elle décrit comme un « déversement de haine atroce, un déballage de linge sale triste à mourir ». Et se souvient d’une phrase de Laeticia lors d’un repas avec des amis, qu’elle évoque dans une interview pour le Parisien. A propos des deux aînés du Taulier, elle lâche : « Ils ont raison d’être inquiets, ils n’auront rien ». « Je ne comprenais même pas ce qu’elle voulait dire », confie Laurence Favalelli. Spectatrice des tensions entre Laeticia Hallyday et Laura Smet, l’agente artistique raconte : « J’entendais ses piques contre elle, j’ai vu Laura et David repartir de Marnes-la-Coquette sans pouvoir voir leur père avant sa mort, mais je n’aurais jamais imaginé un truc pareil. Je parle dans le livre d’un attentat tellement c’était la guerre, le chaos, la débandade. Pourquoi tant de haine de part et d’autre ? ». Face à la décision de Johnny, elle trouve « terrible » ce déni de filiation et assure que « Laeticia ne voulait pas en démordre ». « On a été plusieurs à lui dire de négocier, y compris Sébastien Farran, mais on s’est tous cassé les dents », déplore-t-elle.
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