Elle était sa confidence, celle sur qui le prince Philip pouvait compter. Après avoir assisté à ses obsèques au château de Windsor le 17 avril dernier, Lady Penny, considérée par certains comme « la seconde femme » du défunt duc d’Edimbourg a retrouvé l’ombre et la discrétion.
A propos de
Penny Brabourne
Prince Philip
Grande blonde pleine d’élégance, vêtue d’un long manteau noir… Penny Knatchbull, comtesse Mountbatten de Birmanie, plus connue sous le nom de Lady Penny Brabourne, avait fait une brève apparition lors des obsèques du prince Philip au château de Windsor le 17 avril dernier. Celle qui est considérée par beaucoup comme « la seconde femme » du duc d’Edimbourg avait été invitée à rendre un dernier hommage à celui dont elle a partagé les passions, notamment celle de la chasse, des années durant, preuve qu’Elizabeth II ne prête nullement attention aux rumeurs et autres ragots…
Depuis cette apparition discrète mais non moins remarquée, Penny Knatchbull a rejoint son manoir de soixante pièces situé dans le Hampshire, nommé Broadlands. Une propriété à laquelle elle est très attachée. Sa fille Léonora, qui n’était âgée que de cinq ans, quand elle est morte d’un cancer du foie, y est enterrée dans le parc. Hors de question pour la comtesse Mountbatten de quitter cet endroit. Un domaine qu’elle a décidé d’ouvrir et de faire découvrir au plus grand nombre, comme le rapporte le site Romsey advertiser, et ce pour la bonne cause. Une marche de huit kilomètres sera organisée sur le domaine le 4 juillet prochain dans la matinée, afin de lever des fonds pour les personnes âgées.
Les drames secrets de Penny, la « seconde femme » du prince Philip
Celle qui n’a pas été épargnée par les tragédies comprend, écoute, a le coeur sur la main. De précieuses qualités très appréciées du prince Philip de son vivant. Sans jamais se plaindre, Lady Penny Brabourne a mené sa vie avec dignité et discrétion. Quand son mari quitte le domicile conjugal pour les Bahamas et les bras d’une autre femme, elle ne fait pas de scandale. Quand il décide de revenir, elle accepte, et pardonne.
Réservée, également, au sujet des addictions de son fils, qui se perd dans la drogue. Des clichés de lui amaigri filtrent dans la presse. Pas un mot. Sa peine, ses combats, elle les gère en silence. Tout comme le deuil du prince Philip, particulièrement douloureux, qu’elle a néanmoins observé dans la plus grande dignité. « Never explain, never complain », telle est sa devise, tout comme la reine Elizabeth II, qui a toujours apprécié la discrétion de cette fidèle amie de son époux.
Crédits photos : Bestimage
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