La fille de Valérie Pécresse sort du silence : “Maman est toujours taxée de froide”

Interviewée par Madame Figaro, ce samedi 22 janvier, Émilie Pécresse s’est confiée sur sa mère Valérie, qu’elle admire et qui ne ressemble pas à l’image froide qu’on peut lui donner.

Ce samedi 22 janvier, Madame Figaro a dévoilé un portrait de Valérie Pécresse, en s’intéressant au contexte familial de la candidate Les Républicains à l’élection présidentielle d’avril 2022. L’occasion d’interroger sa fille Émilie, très discrète, sur l’image que donne la femme politique. « Maman est toujours taxée de froide. Mes copains disent toujours qu’avant de la rencontrer, ils avaient l’image d’une bourgeoise catho, un peu raide », a expliqué la jeune adulte de 18 ans.

En laissant son entourage découvrir qui était réellement sa mère, la sœur de Baptiste et de Clément a expliqué qu’ils ont changé d’avis, en se rendant compte qu’ils sont « plutôt marrants dans la famille et que maman a des choses à dire ». Admirative, la jeune femme a précisé avoir « toujours été fière de [s]a mère, de [s]a carrière », même si à ses yeux, ce n’était que « son travail ». Jusqu’à ce que « les résultats de la primaire tombent et qu’elle a été désignée pour porter la candidature LR à la présidentielle ». « J’ai explosé. J’étais tellement reconnaissante qu’une femme soit élue et qu’en plus, ce soit ma mère », a développé Émilie Pécresse, qui estime que « la meilleure publicité pour des parents, ce sont leurs enfants ».

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« On m’a refusé le job de mes rêves »

De quoi la pousser à valoriser sa mère, persuadée que l’on peut être une femme, réussir « sa vie professionnelle et préserver un cadre familial sain ». « Mes parents sont toujours ensemble après toutes ces années. On est très soudés », a affirmé la fille de l’homme d’affaires Jérôme Pécresse. De son côté, la candidate LR a toujours mis un point d’honneur à se faire une place dans un milieu d’hommes. « C’est quoi le problème dans la carrière des femmes ? Moi, je l’ai vécu dans ma chair. Je fais de la politique car on m’a refusé le job de mes rêves« , a révélé Valérie Pécresse, qui souhaitait alors devenir directrice adjointe du Centre national du cinéma (CNC).

Article écrit avec la collaboration de 6Medias

Crédits photos : Grigor Yepremyan / Bestimage

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