Vendredi dernier, dans l’épisode 6 de « Koh-Lanta » diffusé sur TF1, Ahmad a été éliminé à l’issue du deuxième conseil de la réunification. Si son inactivité sur le camp a joué sur les votes, sa stratégie a également agacé certains de ses camarades. Lundi 13 avril, l’ex-candidat s’est confié à Denis Brogniart lors d’un live sur Instagram. Il a ainsi révélé en quoi sa participation à l’émission a eu un impact sur son entreprise.
Le 21 février dernier, TF1 a donné le coup d’envoi de la nouvelle saison de « Koh-Lanta ». Une édition pour laquelle la production a fait appel à cinq anciens candidats emblématiques de l’émission, à savoir Claude, Sara, Teheiura, Moussa et Jessica. Du côté des anonymes, 14 nouveaux aventuriers ont démarré l’aventure aux Fidji. Et depuis le lancement du programme, des tensions ont éclaté chez les rouges et des éliminations ont bousculé la suite de la compétition.
Ainsi, le 10 avril dernier, à l’issue de l’épisode 6 de « Koh-Lanta », c’est Ahmad qui a quitté l’aventure lors du deuxième conseil de la réunification. Une élimination à laquelle l’ex-aventurier s’attendait, comme il l’a confié à Non Stop People. « Je suis l’unique responsable de cette élimination. J’ai subi mon aventure depuis la réunification, je n’ai plus été le maître du jeu (…) J’ai trop voulu ne pas faire de vagues, rester en retrait, me faire oublier pendant quelques jours pour gagner du temps et pour infiltrer les jaunes. Ça n’a pas marché ».
Lundi 13 avril, Ahmad s’est entretenu en live avec Denis Brogniart sur Instagram. S’il a évoqué son élimination de « Koh-Lanta », l’ex-rouge est aussi revenu sur les critiques qu’il a reçues à la suite de son passage dans l’émission. « J’ai fait avec, je n’ai pas le choix. Je me suis fait critiquer… Moi, la critique, ça ne me dérange pas… Le fait de ne pas respecter mon jeu, ma vision des choses… Je le respecte », a-t-il dit à l’animateur.
Mais ces critiques ont eu une des répercussions négatives sur son activité professionnelle. Ahmad est chef d’entreprise. Il est à la tête de sept restaurants, dont un situé à Lyon. « Après, le problème, c’est que cela a été un déferlement, c’est tombé dans les insultes, la haine, dans le boycott des entreprises, des menaces de mort. Et ça, c’était un petit peu compliqué », a-t-il continué.
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