En ce début de semaine, Kim Glow, vedette de télé-réalité, s’est retrouvée au coeur d’une vive polémique. Bloquée en Tunisie, elle a qualifié le pays de « dictature ». Face aux critiques des internautes, elle a donc tenu à s’expliquer.
Les Français qui se trouvent à l’étranger sont plongés dans l’angoisse. Alors qu’ils doivent être rapatriés dans leur pays natal en raison des dernières mesures prises pour lutter contre le Coronavirus, certains n’arrivent pas à embarquer. C’était le cas de Kim Glow, une star de télé-réalité, en ce début de semaine. Bloquée en Tunisie, cette dernière ne parvenait pas à obtenir de vol lorsqu’elle est arrivée à l’aéroport de Carthage. Témoin d’une scène de violence, elle s’était ainsi montrée très paniquée dans sa Story Instagram : « Tout le monde se renvoie la balle de ping pong. Au bout d’un moment je ne comprends pas pourquoi il n’y a pas d’avion militaire qui nous rapatrie. C’est rigolo deux minutes mais ce n’est pas notre pays ici. Ça ne rigole pas ici, c’est la dictature. » Des propos qui ont évidemment scandalisé de nombreux ressortissants tunisiens, et pas seulement. Assaillie de remarques négatives, l’ancienne vedette des Anges de la télé-réalité a donc tenu à présenter ses excuses, bien qu’elle n’ait pas vraiment fait son mea culpa concernant les mots utilisés.
Kim Glow présente ses excuses sur Instagram
« C’est quoi cette polémique sur le mot dictature que j’aurais dit ? Alors écoutez-moi bien j’étais en stress, apeurée, je sais même pas ce que c’est une dictature donc si vous vous êtes tous parfaits et que vous savez ce que vous dites, ben ok, parfait, moi j’étais en stress », s’est défendue la starlette de 34 ans, n’ayant visiblement pas pris conscience de la gravité de ses propos. Des excuses qui n’ont pas convaincu grand monde. Quelques heures plus tard, Kim Glow s’est donc à nouveau munie de son téléphone, cette fois-ci pour poster un message beaucoup plus travaillé. Elle explique ainsi que l’utilisation du mot « dictature » était un « dérapage verbal ». « C’était sans doute politiquement incorrect néanmoins n’y voyez là aucune attaque personnelle. J’aime votre pays j’y viens trois fois par an. Comprenez bien que les circonstances étaient atténuantes, mes mots ont dépassé mes pensées, je ne souhaitais pas blesser personne », s’est justifiée Sophie, de son vrai nom. Aujourd’hui elle ne demande qu’une chose à ses détracteurs : faire preuve d’un peu plus solidarité en ces temps difficiles.
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