Kara (Frenchie Shore) dit avoir été la muse de "membres du gouvernement" : "Ils me choyaient"

Propulsée sous les feux des projecteurs suite à sa participation à l’émission "Frenchie Shore", Kara vient d’accorder une interview à Sam Zirah. L’occasion pour la jolie jeune femme de se confier sur son passé un brin sulfureux.

Lancée en novembre dernier, l’émission de téléréalité Frenchie Shore scandalise une grande partie de l’opinion publique. Le programme qui se vante d’être le « plus trash » de la téléréalité est diffusé sur Paramount + et sur MTV et montre le quotidien d’une bande de candidats n’ayant pas froid aux yeux, dans une villa. Fellation au beau milieu du salon, scènes de sexe sous la douche, pool party alcoolisé et pénis en érection devant les caméras… l’émission est du jamais vu à la télévision française et engendre ainsi de nombreux débats sur les réseaux sociaux.

Si la ministre de la Culture Rima Abdul Malak a tenté de faire interdire la diffusion, il semble que l’Arcom n’ait pas le pouvoir de sanctionner ce programme diffusé sur une plateforme privée et payante. Parmi les candidats phares de Frenchie Shore, nous retrouvons Kara qui s’est déjà illustrée en taclant Sarah Fraisou.

La jeune femme vient d’accorder une interview à Sam Zirah dans laquelle elle se confie sur son passé de « michetonneuse »« J’ai eu des mecs lambda, j’ai eu des mecs du gouvernement, des ministres, des ministres étrangers, j’ai eu de tout ! » a-t-elle lancé avant d’apporter des précisions : « Je travaillais dans des beaux endroits, je travaillais dans le luxe donc je rencontrais du beau monde mais acheter ses propres trucs c’est un peu chiant. J’étais dans des endroits où j’avais l’occasion de rencontrer des mecs qui étaient intéressés et qui voulaient me choyer, me chouchouter, donc avec plaisir » a-t-elle raconté avant de faire faire une précision : « Ce n’étaient pas des Français, certains sont certainement connus je ne sais pas. Je ne sais pas si vous vous intéressez à la politique des autres pays mais peut-être que vous les connaissez… ».

Elle continue son récit : « Je passais un bon moment avec des hommes, on allait au resto, on faisait des sorties en public, parfois ils m’emmenaient, ils avaient des amis à leurs côtés, et ils me faisaient des cadeaux. Parce que je disais que j’avais besoin de ça, ils me l’offraient. Si je vois que tu ne vas pas me l’offrir ou si je vois que ça mène à rien, je passe au suivant… ». Et Kara de conclure en affirmant que les hommes qu’elle « michtonnait » étaient en fin de trentenaire, avaient la quarantaine ou la cinquantaine.

ES

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