Julien Lepers : il se plaint à Nicolas Sarkozy !

Ce lundi soir, l’émission Quotidien a dévoilé de drôles d’images : celles de Julien Lepers, qui se plaignait de son licenciement de France Télévisions à… Nicolas Sarkozy.

Julien Lepers ne s’en remet pas. L’ancien présentateur du jeu télévisé culte Question pour un champion a mal vécu son licenciement en 2015. Âgé de 66 ans au moment de son éviction, il l’estimait « nul, car fondé sur une discrimination en raison de l’âge » et n’est pas près de se ranger du côté de Freemantle, la société de production qui l’employait et contre qui il est en procès depuis trois ans. Fin juin dernier, le conseil des prud’hommes a d’ailleurs rejeté sa demande de près de 3,4 millions d’euros d’indemnités « pour licenciement sans cause réelle et sérieuse ». Un nouveau coup dur pour Julien Lepers, qui continue, semble-t-il, à broyer du noir et n’hésite pas à en parler dans les médias et à qui veut l’entendre malgré le solde de tout compte de 800 000 euros qu’il a tout de même réussi à obtenir.

Ce lundi 24 août, l’ex-présentateur de 71 ans a ainsi profité de la séance de dédicaces de Nicolas Sarkozy, venu présenter son livre Le Temps des Tempêtes publié aux Editions de l’Observatoire à Cannes, dans les Alpes-Maritimes, pour revenir sur ce sujet qui lui tient à cœur. Des images diffusées dans l’émission Quotidien du 31 août dans lesquelles on l’entend lancer à l’ancien président de la République derrière son masque : « Ça va, ça va, l’entend-on lancer sous son masque respiratoire. À part que la télévision… Delphine Ernotte, remarquable. Il y a trop d’hommes blancs de plus de 50 ans… Voilà, je n’en dis pas plus. »

Des propos qui font référence aux déclarations de Delphine Ernotte, la Présidente de France Télévisions, qui avait estimé juste avant son éviction, sur Europe 1, qu’il était nécessaire de réformer le petit écran. Le but ? Que FTV soit à l’image du public : « Honnêtement, en arrivant, mon premier constat, c’est que ce n’est pas le cas. On a une télévision d’hommes blancs de plus de 50 ans et ça, il va falloir que ça change ».

S.C

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