Vendredi 8 octobre 2021, Josiane Balasko s’est confiée sans filtre lors d’un entretien accordé à Konbini. L’actrice a évoqué l’addiction qu’elle partage avec Thierry Lhermitte.
- Josiane Balasko
- Thierry Lhermitte
À l’occasion de son grand retour au cinéma dans le film Tralala, sorti le 6 octobre 2021 dans les salles obscures, Josiane Balasko a accordé une interview à Konbini. Dans cet entretien dévoilé vendredi 8 octobre 2021 par nos confrères, Josiane Balasko, qui joue dans le long-métrage signé des frères Jean-Marie et Arnaud Larrieu, a révélé quelques secrets sur elle. D’une part, l’actrice qui a regretté récemment sa chirurgie « ratée » a pendant plusieurs années eu beaucoup de mal à accepter son prénom. « Je détestais mon prénom quand j’étais petite. Josiane je trouvais que ça faisait prénom de pauvre… », se souvient celle qui aurait préféré avoir un nom à la mode comme Michèle, Nicole ou encore Martine.
D’ailleurs, lors de ses débuts dans la comédie, Josiane Balasko, également sur les planches pour la pièce Un chalet à Gstaad au Théâtre des Nouveautés à Paris se faisait appeler Clémentine. Toujours au cours de cette interview, Josiane Balašković de son vrai nom a révélé qu’elle avait par ailleurs développé une addiction… pour les jeux vidéo. « Oui accro… j’y passe quand même beaucoup de temps », a révélé celle qui a plongé dans la marmite très jeune.« J’ai commencé à jouer aux jeux vidéo quand c’était le tout début avec le mur de briques qu’il fallait casser. C’était tout basique. Après j’étais très accro à Lara Croft », se souvient la mère de Marilou Berry.
« Il était accro lui aussi »
Josiane Balasko en dit alors plus sur ce jeu auquel elle consacrait le plus clair de son temps : « C’était un jeu formidable mais c’est très stressant parce que Lara Croft meurt tout le temps dans des conditions épouvantables ». Une addiction aux univers virtuels qu’elle partage avec Thierry Lhermitte avec lequel elle jouait notamment dans la saga des Bronzés. « Il y avait un jeu qui s’appelait Age of Empires. Je crois qu’à l’époque on achetait des disquettes. J’ai dû jeter les disquettes pour arrêter de jouer. Lhermitte (Thierry Lhermitte, ndlr) aussi l’a fait parce qu’il était accro lui aussi… », conclut-elle, avec sa franchise légendaire.
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