Ce dimanche 13 février, Jean-Michel Blanquer était à l’antenne de France Inter et a tenu à contester tout manquement de la part du gouvernement face à la vague Omicron.
Depuis deux ans, le monde entier vit au rythme de la pandémie de coronavirus. Si la France commence enfin à alléger les protocoles sanitaires, ce début d’année 2022 a été particulièrement intense pour le monde politique. Jean-Michel Blanquer n’est pas épargné par les critiques. Si ses vacances à Ibiza, en plein pic de la pandémie, avaient fait jaser, le ministre de l’Éducation nationale continue de faire parler de lui. Ce dimanche 13 février, le locataire de l’hôtel de Rochechouart était présent sur le plateau de France Inter et a réfuté tout manque d’anticipation face à la vague Omicron, qui a touché l’Hexagone de plein fouet après les fêtes de fin d’année.
Jean-Michel Blanquer défend sans relâche les décisions prises par le gouvernement, et a mis la faute sur une autre institution. « Ce qui nous a manqué la première semaine de janvier, ce sont les tests en pharmacie« , a-t-il expliqué au micro de France Inter, avant de poursuivre : « Vous reconnaîtrez que, malheureusement, je n’y suis pas pour grand-chose. » L’homme politique a alors répété : « Ce qui a donc manqué lors de la première semaine de janvier, ce n’est pas tant l’anticipation… Je rappelle qu’à votre antenne sur France Inter j’avais dit le mardi qui précédait que l’évolution aurait lieu sur les tests et que je serais obligé de dire au dernier moment les détails, puisque ça dépendait d’un avis du Haut Conseil de la santé publique. » Au cours de cet entretien, le ministre de l’Éducation nationale a également contesté le fait qu’Emmanuel Macron prenne ses décisions à la dernière minute.
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Des vacances qui font scandale
Plus d’un mois après ses vacances sur l’île espagnole en pleine cinquième vague de Covid-19, le scandale autour de Jean-Michel Blanquer ne s’est pas complètement éteint. Au micro de RTL Soir, l’époux d’Anna Cabana est revenu sur la polémique. « À froid, les gens voient bien qu’il ne s’est rien passé de particulier parce que j’ai simplement pris quatre jours de vacances. Ça aurait pu être en Corse ou à Belle-Île-en-Mer« , s’est-il défendu. Une réponse qui n’a pas fait l’unanimité.
Article écrit en collaboration avec 6Médias
Crédits photos : Capture écran France Inter
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