Jean Imbert : le surnom donné par sa maman qui en dit long sur son caractère

Chapeau à nos confrères de Grazia qui – à l’occasion d’un portrait de Jean Imbert – ont réussi à découvrir le petit surnom que la mère du chef avait trouvé pour son célèbre fils.

Perfectionniste Jean Imbert ? Il faut l’être un peu si on veut arriver à son niveau. Dans un entretien qu’il accordait au Journal des femmes, l’ex-concurrent de Top Chef corrigeait la journaliste qui osait le qualifier de cuisinier des stars. « La star concentre 1% de mon temps de cuisinier mais elle concerne 90% des répercussions médiatiques, soulignait-il. Je ne suis blasé de rien. C’est incroyable de se retrouver dans l’intimité ultime de ces personnes, sans filtres. Je ne m’en rends pas compte je pense… Je prends tout ce qu’il y a de positif, sans penser que c’est normal pour autant. Tout peut s’arrêter du jour au lendemain. » Dans cet optique carpe Diem, Jean Imbert a décide d’organiser ses journées comme si c’était la dernière de sa vie. « « Le meilleur moment d’un cuisinier c’est la création, tandis que le plus agaçant, c’est celui où tu dois reproduire un plat, ajoutait-il. J’aime mener à la baguette le fait de reproduire à la perfection quelque chose que j’ai créé. »Et pour cela, il faut de l’organisation, une rigueur que nous découvrons dans le portrait queGrazia vient de faire de Jean Imbert.

Le temps, c’est de l’argent

Loin du cuisinier à la cool en jeans-baskets, le roi des fourneaux apparaît dans l’édition du Grazia (sorti ce vendredi 24 janvier 2020) comme un chef à la journée plus que rythmée. Le temps mort, Jean Imbert ne supporte pas ça. « Je ne supporte pas les gens qui sont à 20%, avoue Jean Imbert. Ça me stresse. » Toujours en mouvement, que ce soit aux fourneaux, au téléphone ou en réunion avec ses divers associés (dont Pharrell Williams, avec qui il vient d’ouvrir une cantine chic à Miami), Jean Imbert est l’illustration de l’hyperactivité… Créative. « Ses amis avouent ne pas oser lui dire quand ils glandent sur leur canapé, souligne le journaliste de Grazia. Sa mère l’appelle Duracell. » Un hommage aux piles électriques qui maintenaient un lapin rose en action dans leurs publicités. De là à dire que le chef mériterait d’être cuisiné à la moutarde… Nous n’irons pas jusque là.

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