"Je parlais bizarrement" : Jane Birkin revient sur les heures qui ont précédé son AVC

Victime d’un AVC cet été, Jane Birkin est revenue sur les instants qui ont précédé cet accident, et la longue convalescence qui s’en est suivie. Selon ses proches interviewés dans Paris Match, le 23 décembre 2021, il serait survenu suite à un stress important.

  • Jane Birkin
  • Charlotte Gainsbourg

Jane Birkin a subi une forme légère d’AVC. Elle va bien mais doit observer un repos total pour le moment.” C’est en ces termes que le public a appris la nouvelle, le 29 août 2021. Par son manager, Olivier Gluzman. Paris Match consacre un reportage à la mère de Charlotte Gainsbourg, jeudi 23 décembre 2021. “Il est évident que cet AVC est lié au stress engendré par la tournée, par toute l’énergie qu’elle met à défendre le film de Charlotte, confient les proches de Jane Birkin, dans les colonnes de l’hebdomadaire. Elle est venue le présenter à Cannes en avion privé pour pouvoir enchaîner deux dates de tournée. Jane n’est pas raisonnable quand il s’agit de prendre soin d’elle. Elle n’a jamais été raisonnable. » Le 8 décembre 2021, interrogée par RTL sur les heures qui ont précédé son AVC, Jane Birkin confie : « Une amie a trouvé que je parlais bizarrement, elle a vu tout de suite que quelque chose n’allait pas« . La veille, les premiers signes s’étaient manifestés. « J’avais eu un terrible mal de tête le soir d’avant, quand que je faisais la promotion du film de Charlotte, se souvient-elle. Mais un terrible mal de tête ! Et c’est tout. »

« Je n’ai jamais eu peur pour moi »

Jane Birkin raconte même être montée sur scène. « D’ailleurs le soir d’avant ce truc je chantais en concert. » Puis, l’accident se produit. “Je n’ai jamais eu peur pour moi, confie-t-elle. Quand vous êtes l’accidentée, cela ne fait pas peur du tout. Cela n’était pas drôle pour mes proches, mais je n’ai pas souffert, d’aucune manière ». L’amie d’Etienne Daho passe ensuite beaucoup de temps aux soins intensifs de Nantes, où elle s’attache au personnel. « C’étaient des amours. Longtemps, je suis restée là bas. C’était loin de chez moi et j’ai marché dans leur parc… Ça me semble maintenant [avoir été] une autre parenthèse incroyable. »

Ce « temps de pause », comme elle l’appelle, lui a été bénéfique. « Je savais que je n’allais pas avoir [à gérer des] choses qui me tracassent tellement, et qui font qu’on n’est jamais libres. Quel bonheur de savoir qu’il y a trois mois où il n’y a rien, a-t-elle relativisé. J’en revenais pas, génial ! »

Source: Lire L’Article Complet