"J’ai du mal avec mes dents écartés, ma gueule et mon double menton", Kev Adams se refuse d’avoir des miroirs dans son appartement et évoque un énorme mal-être !

Interviewé par Ciné Télé Revue à quelques jours du lancement de son nouveau spectacle, Kev Adams s’est livré comme jamais auparavant sur le rapport difficile qu’il entretient avec son corps.

Kev Adams ne s’arrête plus. Au casting de la mini-série @venir, disponible à partir du 27 février 2023 sur TF1, l’humoriste s’apprête également à enchaîner les dates de son nouveau spectacle nommé Miroir. Un one-man-show dans lequel la star de Soda affronte son propre reflet. « J’aborde des sujets que je n’ai pas traités jusqu’à présent, peut-être un peu plus profonds, et donc il y a un côté où on brise la glace pour passer de l’autre côté du miroir, pour montrer une autre facette de soi », confiait-il à nos confrères de RTBF le 15 février 2023.

Si Kev Adams a choisi de s’attaquer à son image, c’est avant tout pour lutter contre ses nombreux complexes. Interviewé par Ciné Télé Revue à quelques jours du coup d’envoi de sa tournée, celui qui se glissait dans la peau du roi des voleurs dans Les Nouvelles aventures d’Aladin d’Arthur Benzaquen en 2015 s’est livré sur le rapport difficile qu’il entretient avec son corps.

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Kev Adams complexé par son physique

Mal à l’aise avec son apparence, l’acolyte de Camille Lellouche n’a d’ailleurs qu’un seul miroir chez lui. La raison ? Ces derniers ne cessent de lui rappeler ses « défauts« , ces « choses qui ne sont pas du tout parallèles, ni bien rangées » et ces « lignes floues ». « Il n’y a jamais d’autosatisfaction quand je me regarde. Il y a toujours de la remise en question et de la souffrance », confiait l’humoriste avant de poursuivre : « J’ai du mal avec ma gueule […] J’ai du mal avec mes cheveux, j’ai du mal avec mes dents écartées, j’ai un visage très large, j’ai un double menton… Il y a pas mal de choses qui me déplaisent et pour aller plus profondément ».

Et d’ajouter : « J’ai l’impression que pour plaire au cinéma, il faudrait avoir un visage un peu plus fin, des traits fins, que je n’ai pas du tout ». Au-delà du physique, c’est tout un mal-être intérieur que Kev Adams ressent à chaque fois qu’il croise un miroir. « Je vois toutes les frustrations et les envies de plaire constantes. Ça, c’est un peu plus profond ». Et s’il devait changer quelque chose, Kevin Smadja, de son vrai nom, aimerait des « joues un peu plus creusées » et « un visage plus fin ». Des confidences bouleversantes.

V.B

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