Jacques Martin : un héritage "modeste"… son fils balance la somme qu'il a touchée !

Le fils aîné de Jacques Martin, David a parlé de l’héritage laissé par son père…

Cela fait près de 13 ans que Jacques Martin est décédé. Ce sont des suites d’un cancer généralisé qu’il s’est éteint à l’âge de 75 ans laissant derrière lui, huit enfants issus de quatre relations différentes : Annie Lefèvre, avec laquelle il a eu deux enfants : David, (né en 1961), et Élise, (née en 1965). Danièle Évenou, avec laquelle il a eu deux fils : Frédéric (né en 1973), Jean-Baptiste (né en 1976). Cécilia Ciganer-Albeniz, aujourd’hui, Cécilia Attias avec laquelle il a eu deux filles : Judith (née en 1984) et Jeanne-Marie (née en 1987). Et enfin, Céline Boisson deux derniers enfants, Juliette et Clovis, nés en 1994 et 1999.
 

En décembre dernier, l’aîné, David avait parlé d’héritage. Dans une interview accordée à Ici Paris il a indiqué que son père « avait organisé ça très bien » et « tout le monde a eu ce qu’il devait avoir. Les mamans aussi ». 

Ce vendredi 14 février, sur le plateau de L’instant de Luxe sur Non Stop People, le cusinier de 58 ans a révélé que le montant qu’il a touché.
 

« Par bonheur, avec des hauts et des bas aussi, je n’ai pas forcément besoin de ces sous-là alors ça va sur la tête de mes enfants (…) C’était un héritage très modeste, ce n’est pas un milliard d’euros. »

Le fils de l’ancien animateur phare a donc perçu « un peu plus » de 100 000 euros à la mort de Jacques Martin. Il faut rappeler que nous étions huit enfants et ce ne sont pas des sommes indécentes.

« J’ai toujours eu d’excellentes relations avec mon père »

Dans le long entretien donné à nos confrères d’Ici Paris, David Martin s’est confié sur sa relation avec son père.

« On n’avait pas une relation de copains », a-t-il expliqué avant de poursuivre en indiquant : « J’étais nul à l’école. Et dès que je l’ai quittée et que j’ai travaillé, nos rapports se sont améliorés ».

Malgré une éducation stricte, celui qui est également animateur affirme avoir « toujours eu d’excellentes relations avec (s)on père ». « C’était un papa qui était inquiet de ce qu’allait devenir son fils. Quand j’ai choisi la cuisine très tôt, il en était plutôt fier ».

Jb.

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