Bernard Montiel et Benjamin Castaldi prennent la défense de l’ancienne star du Loft.
Après avoir indiqué avoir porté plainte pour diffamation, à la gendarmerie, Fred Cauvin a reconnu avoir levé la main sur la gagnante de la première saison de Loft Story en février dernier. « Elle avait pris trop de drogue, elle était excessive. Elle ne me laissait pas dormir », avait-il dit il y a quelques mois. « Je me suis levé, j’ai gueulé et je lui ai mis une gifle pour qu’elle se calme, tout simplement […] Alors oui, il y a une gifle qui est partie […] Mais c’est la seule et unique fois depuis 2013 que j’ai levé la main sur elle ». Selon lui, l’addiction à la drogue de la mère de Mindy serait un gros problème.
D’ailleurs, il assure, Loana aurait perdu une grande partie de ses dents à cause de sa consommation excessive de substances illicites. Ce soir, lundi 21 septembre, sur le plateau de « Touche pas à mon poste », Gilles Verdez a tenu à s’exprimer sur le sujet assurant qu’il a eu accès à des SMS échangés entre Loana et son ex, hier, dimanche 20 septembre. Selon les mots que s’adressaient les deux ex, le compagnon de Fatou émet quelques suppositions sur la véracité des propos de Loana en laissant tout de même le bénéfice du doute à la jolie blonde.
Bernard Montiel et Benjamin Castaldi prennent sa défense évoquant « une femme détruite, violée à plusieurs reprises et que l’on a jamais aidé mais plutôt exploité. » Quant à Isabelle Morini-Bosc, elle a critiqué les « mauvais choix » de l’ancienne candidate de télé-réalité. « Je ne suis pas d’accord sur le fait que tout le monde l’a laissé tomber. D’abord, elle a été prise en main par un éditeur puis après elle a fait tous les mauvais choix, j’y peux rien ! A un moment donné, tu peux pas lui tenir la main en permanence ! Elle préférait la nuit au jour, elle avait pas un sens inné du garçon qu’il lui fallait. Elle aime bien les mauvais garçons, ça ne lui a pas réussi. Donc, on ne peut pas dire que tout le monde a laissé tomber Loana ! », a-t-elle déclaré, des propos qui ont provoqué l’indignation de Bernard Montiel et de Benjamin Castaldi.
La rédac’
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